Une certaine légende urbaine traine sur Internet : ce serait la fin de l’orthographe. Les scientifiques estiment le début de sa chute aux environs de 2000, avec l’apparition du SMS. Certes, auparavant les contrevenants existaient mais comme il n’y avait pas de diffusion de masse, et bien cela n’était pas aussi visible. La faute fut reprise quasiment immédiatement par les réseaux sociaux en plein essor, où les jeunes (et moins jeunes) balançaient, et balance encore aujourd’hui ce qui leur passe par la tête sans la crainte que Mme. Biscondi leur chauffe les oreilles avec un puissant « Les « si » n’aiment pas les « rai » ! » ou bien « Rappelle-moi la définition du verbe « croiver » je te prie… ». Cependant, les moteurs de recherche ont aussi leur part de responsabilité dans la déperdition orthographique et, par un tour pervers, les rédacteurs web sont parfois bien obligés d’utiliser des mots-clefs grammaticalement incorrects, voire complètement barbares. En tant qu’agence web spécialisée dans le référencement naturel, Web Omega dénonce cette dure condition que subissent les rédacteurs.
Archives mensuelles : Publié le 27/03/2014
Le média écrit reste majoritaire pour le référencement
Se faire voir sur internet en tant que site marchand, rien de plus facile, il suffit d’avoir un profil sur un des nombreux réseaux sociaux ! Mais se faire écouter, lire et observer, pour que cela ait du poids en termes de rentabilité pour votre e-commerce, là, c’est un peu plus compliqué. Heureusement, votre agence de création de sites web Web Omega est spécialisée en référencement de site internet. Continuer la lecture
Knowledge Graph et référencement, pour le meilleur !
Enfin ! Enfin un moteur de recherche se met à la place des utilisateurs ! Le Knowledge Graph de Google, bien qu’à ses débuts, a pour objectif de comprendre réellement ce que vous voulez savoir, pour vous donner la réponse la plus pertinente, et plus seulement une liste de liens à farfouiller pour trouver votre réponse. C’est une révolution aussi pour la création site e-commerce, puisqu’il va falloir s’adapter à cette nouveauté, qui concerne essentiellement le référencement site internet.
C’est (bientôt) fini le temps où, derrière votre écran, vous vous décarcassiez la tête pour trouver une combinaison de mots-clefs qui vous permette de trouver la réponse à votre question. Mine de rien, avec les dérives de la recherche basée sur les mots-clefs, chaque internaute s’est transformé en spécialiste du moteur de recherche sans le savoir. Rappelez-vous, la première fois que vous vous êtes mis devant Google, vous avez spontanément posé une question, « qui a réalisé Point Break ? », puis au fur et à mesure de votre pratique, vous avez changé de sémantique pour taper plutôt « point break réalisateur ». Ce qui a eu pour conséquence, pour chercher ne serait-ce qu’un livre quand on a oublié le titre et qu’on ne se rappelle que de détails, de devoir taper et retaper des mots-clefs, lire une page, une autre, retaper de nouveaux mots-clefs. On a cru que ce foutu moteur de recherche était vraiment niais, alors on tapait façon télégramme : « livre léonard de vinci femme tableau ». Pour trouver… rien. On a réessayé les phrases bien construites : « le livre qui parle de la femme qui est censée apparaitre sur le tableau de léonard de vinci ». Depuis peu cela donnait quelque chose (comment a-t-on pu oublier Da Vinci Code ?), même s’il n’y a que le premier résultat qui soit bon. Cela signifie en somme que Google, comme vous, comprend mieux quand vous parlez normalement. Autre avancée remarquable, avant, Google vous proposait des recherches ; maintenant, il vous apporte de vraies réponses. Mais il n’est pas sûr (de lui, de vous) donc il donne le choix grâce au Knowledge Graph.
Si vous possédez un site marchand, cela vous concerne directement puisque vos clients potentiels vont procéder de la même façon que vous pour vous trouver (après tout, vous êtes aussi un client potentiel pour d’autres boutiques en ligne). Pour manifester clairement que vous êtes le meilleur, avez les meilleurs produits, au meilleur prix avec la meilleure livraison, il va falloir le faire comprendre au Knowledge Graph, et c’est un peu différent qu’avant, quand il suffisait de bourrer vos méta-balises avec des mots-clefs. De plus le Knowledge Graph intègre depuis quelques semaines des publicités dans ce nouveau cadre d’information.
De l’obligation d’avoir un profil Google+
Pour les entreprises, les marques et toutes les boutiques en ligne qui n’avaient jusqu’à présent que deux options pour se faire connaître, le référencement naturel ou le payant (Google Adwords), le Knowledge Graph apporte une nuance. Rien qu’une agence web ne puisse faire pour vous, puisqu’il s’agit de créer (si ce n’est pas encore fait) un profil Google+ et de l’optimiser pour le Knowledge Graph. En effet, ce sont en partie les informations que vous renseignez dans ce réseau social qui apparaîtront dans le fameux cadre. C’est plutôt simple à faire, car lorsque vous créez un compte gmail, vous avez d’office un compte G+ joint, et si vous mettez une adresse, des photos et une visite virtuelle, ces informations apparaissent sur Google Map et maintenant également sur le Knowledge Graph. Pour un site marchand, remplir soigneusement toutes ces données est primordial pour offrir à vos clients une carte de visite complète et les inciter à franchir le pas (ou plutôt le clic).
Des résultats plus pertinents pour les utilisateurs
Le Knowledge Graph est capable de distinguer les nuances. C’est là toute son originalité et la révolution qu’il représente. C’est important car en réduisant l’angle de la recherche, Google la rend plus pertinente encore qu’en se basant sur les mots-clefs et le tissage des liens (de façon basique, c’est ce dont il s’agissait avant pour la recherche Google). Le client tape des mots-clefs, Google lui offre plusieurs options de sens, à force de restreindre sa cible le client tombe sur ce qu’il cherche, c’est-à-dire vous !
Des clients mieux ciblés
Autant les utilisateurs trouvent plus facilement ce qu’ils cherchent grâce au Knowledge Graph, autant les e-commerces trouvent de meilleurs visiteurs. Toujours grâce à la capacité de compréhension du Knowledge Graph, un visiteur qui vient sur votre site aura suivi un chemin balisé selon ses souhaits, donc il y a plus de chances qu’il soit satisfait, et devienne un client fidèle.
Des statistiques plus efficientes
Puisque les utilisateurs ont désormais un accès direct à l’information recherchée, les pages qui leur sont proposées sont censées correspondre exactement à ce qu’ils veulent. Il devrait y avoir une incidence sur le taux de rebond, c’est-à-dire quand un internaute quitte votre site après n’avoir consulté qu’une page, ce qui arrivait principalement car cela ne correspondait pas à ce qu’il voulait (recherche trop vague, site qui travaille des mots-clefs larges pour ratisser large). Ce taux devrait réduire car le Knowledge Graph aura épuré les résultats les moins pertinents, donc si l’utilisateur atterrit sur votre site, c’est qu’il doit y trouver un intérêt.
Des mots-clefs plus contextuels
Il y a encore peu, compiler des mots-clefs n’avait pas de sens pour le référencement, puisqu’il fallait surtout trouver les combinaisons de mots les plus tapées. Par exemple, pour un site qui vend des produits de beauté, il y a peu de chance que les internautes tapent « boutique en ligne de produit de beauté » mais plutôt simplement « produit de beauté ». Avec le Knowledge Graph, il va falloir référencer en contextualisant. Il faut se définir de la façon la plus juste possible et éviter les données vagues qui avant pouvaient tout de même ramener des clients (mais qui, on l’a vu, favorisait aussi un fort taux de rebond).
Google recentre ainsi sa principale activité sur l’utilisateur. Ce retour aux sources, qui est sa règle n°1, est une amélioration pratique. Cela permettra par exemple de faciliter le passage aux requêtes orales avec la Google Glass par exemple, ou les téléphones sous Android. À termes, nous allons réellement converser avec Google et obtenir des informations intéressantes.
Quant à la crainte de voir vos clients rester sur le pas de porte virtuel de votre site, elle est infondée. Si vous êtes un site marchand, les visiteurs seront toujours obligés d’entrer pour passer leur commande, créer un compte et payer. Du moins Google n’a pas encore étendu le Knowledge Graph à ce niveau.
Le Knowledge Graph fera de Google une entité intelligente
Nous vous avons parlé il y a peu du Facebook Graph Search, mais il n’y a pas que ce réseau social qui applique la théorie des graphes pour faciliter la vie des utilisateurs. Google a lancé le 16 mai 2012 pour les États-Unis le Knowledge Graph, c’est (pour faire court) le cadre d’informations que vous trouvez de plus en plus souvent sur le côté droit de votre page de résultats de recherche. Pour arriver à cela, Google a accompli encore une fois un travail de géant. L’agence web Web Omega s’est intéressée à cette nouvelle fonction de Google.
Un graphe est une représentation mathématique des liens qui unissent les choses, cela permet de comprendre les rapports entre les entités, quels sont les liens les plus courts qui mènent d’une chose à l’autre, le chemin le plus long aussi. Ce que Google initie avec le Knowledge Graph, c’est une nouvelle façon de procurer aux utilisateurs ce qu’ils demandent, c’est-à-dire des informations. En améliorant l’application de la théorie des graphes sur les données qui se trouvent sur les sites internet, Google est en passe de rendre son moteur de recherche vraiment intelligent, compréhensif dans le sens où il sait de quoi vous parlez. Les ingénieurs de Mountain View pourvoient le moteur de recherche d’une capacité bien humaine, l’entendement. Il passe de moteur de recherche à moteur de connaissance (knowledge en anglais).
Pour faire simple, à l’origine la fonction de Google et des autres moteurs de recherche était de trouver le plus vite possible toutes les pages internet qui contenaient les mots que vous aviez tapé dans la barre, peu importaient le contexte, le sens et l’intérêt pour l’internaute. En affinant de plus en plus les modalités de pertinence, Google rendait peu à peu son moteur intuitif (mais pas encore intelligent). Non seulement il vous proposait les pages qui contiennent ces mots-clefs mais en plus il les classait selon l’intérêt que d’autres utilisateurs avaient manifesté avant vous, en cliquant sur telle page plutôt qu’une autre, mais là encore sans distinguer le sens. Ce n’était pas encore la panacée puisqu’il arrivait par exemple que des milliers d’internautes cliquent par réflexe sur le premier lien proposé alors qu’il n’était pas d’un grand intérêt, mais à force de clics, Google le laissait tout de même en première position. Autre indice que le moteur de recherche ne faisait que sortir de la caverne, la proposition de mots-clefs pendant que vous tapiez dans la barre était souvent un ramassis de bêtises (qui font bien rire les internautes). Bref c’était un peu la préhistoire et l’antiquité des moteurs de recherche.
En lisant notre article Comment Google cherche, vous aurez un aperçu de la recherche telle qu’elle était dernièrement, sa dernière évolution avant le Knowledge Graph. Avec cette nouvelle fonction, la pertinence se situe désormais au-delà des liens, puisque les ingénieurs de Google veulent chosifier les mots-clefs. Concrètement il faut que le moteur de recherche comprenne que ce que vous tapez, ce ne sont pas que des mots, ces mots représentent quelque chose de concret pour vous, et vous avez besoin de savoir quelque chose à ce propos. Pour vous apporter la meilleure réponse, Google change pour apprendre, apprendre à comprendre les choses et non plus seulement les liens (Things, not strings comme le disait Amit Singhal, l’ingénieur qui a annoncé cette nouvelle fonction pour le web américain en mai 2012).
Google a amélioré la recherche de trois façons. D’abord en catégorisant les résultats selon les ambiguïtés. En effet, il arrive que les mots que vous tapez aient plusieurs sens. Au lieu de proposer les résultats de toutes ses nuances pêle-mêle, Google vous propose les résultats d’une signification, la plus conséquente en termes de recherche, puis il met à disposition sur le côté les autres choix. Si par hasard c’était un de ceux-là que vous cherchiez, vous n’avez qu’à cliquer pour obtenir vos réponses. Par exemple vous avez tapé « game of thrones » pour trouver le nom de l’auteur du livre, histoire de vous y mettre parce que la série télé ne va pas assez vite à votre goût, le Knowledge Graph vous propose d’abord la série télévisée, vous cliquez sur la série littéraire pour obtenir votre information.
Deuxièmement, et c’est la partie la plus visible de l’iceberg, Google prépare un résumé aux petits oignons pour vous éviter de rentrer dans les sites et de perdre du temps à la recherche de l’information tant désirée. Pour l’instant cela concerne les personnages célèbres, les lieux importants, les notions de connaissances (en sciences, en art, en religion, etc.), et aussi toutes les personnes et les sociétés qui ont un profil Google+. Tout n’y est pas encore, mais ça va venir. Ce résumé est extrait de diverses sources, officiellement Freebase, Wikipedia ou le World factbook de la CIA et beaucoup d’autres, considérées pertinentes parce que des milliers d’utilisateurs ont surfé dessus après avoir tapé les mêmes mots-clefs que vous. En plus, les quelques informations qui apparaissent dans ce nouveau cadre sont mises en avant de façon intelligente. Google sait ce que les internautes cherchent en priorité à propos d’un sujet, par exemple dans la grande majorité des cas la recherche « Robert Wadlow » concerne sa taille (c’était l’homme le plus grand qui ait existé), donc cette donnée va obligatoirement apparaître. Plus besoin de taper « robert wadlow taille » ni de rentrer dans la page Wikipedia ou Guiness Book of records pour la trouver, elle est là, sous vos yeux.
La troisième amélioration consiste à anticiper votre prochaine recherche et vous faire découvrir des nouveautés à propos de votre sujet. Reprenons l’exemple de Game of thrones. Quand vous avez cliqué sur le choix de la série littéraire, non seulement le cadre s’est rempli d’informations concernant exclusivement ce sujet, mais en plus les résultats de recherche eux-mêmes (sur la gauche) s’y sont restreints. Les mots-clefs ont été modifiés pour donner ce que Google estime plus pertinent, grâce à sa nouvelle intelligence. Vous cherchez un endroit pour jouer à Aviator ? Jouez à Aviator au casino en ligne Pin-Up . C’est pourquoi il y a « a song of ice and fire » à la place de « game of thrones » dans la barre de recherche, cela correspond plus à la série de livres puisque c’est ainsi que George R.R. Martin l’a nommée en anglais.
Le Knowledge Graph, c’est donc un peu votre bibliothécaire, votre médecin, Sherlock Holmes, Freud, Einstein, et même Robert Langdon, bref tout ce que vous pouvez imaginer comme expert dans son domaine, et qui vous restitue ses connaissances dans un petit cadre. Comme tout ce que fait Google, les travailleurs du web surveillent de très près les conséquences de chaque avancée pour adapter leur stratégie, en particulier pour le référencement internet et nous vous tiendrons bientôt au courant de ce que le Knowledge Graph change pour les référenceurs.
Web Omega est toujours en plein centre du Palais des expositions à la Foire de Nice !
L’équipe de Web Omega, votre agence de création de sites internet, vous attend à la Foire de Nice au si vous cherchez à concrétiser un projet de site ou à le rendre visible sur internet.
Web Omega présente sa nouvelle image
Cela doit bien faire quelques mois que le projet grandissait dans le giron de Web Omega, votre agence de création de sites web, et ça y est, elle est arrivée. La nouvelle image de l’agence, concrétisée dans un nouveau site, le tout en clair et en couleurs !
Web Omega à la Foire de Nice !
Notre agence de création de site web sera présente à la 70ème édition de la Foire de Nice, qui se tiendra cette année du 8 au 17 mars 2014.
Web Omega étant une agence web installée à Nice, cette participation est une nouvelle opportunité pour nous de nous faire connaître et d’accroître encore plus notre présence dans la région.
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