Vous n’êtes pas sans savoir que l’écriture, cela se travaille. Il s’agit d’un savant mélange d’amour des mots, de rigueur orthographique, syntaxique et grammaticale alliés à une certaine habileté à transmettre des connaissances. En amont, il faut bien sûr chercher et acquérir ces connaissances. Alors on peut ajouter au mélange une belle dose d’intérêt pour de multiples sujets, qualité que l’on nomme ici curiosité. Après la création d’un site internet, dans une agence web, on travaille à son référencement Google grâce à la production de contenus riches et pertinents. En tout cas, chez Web Omega, c’est ce vers quoi nous tendons.
(Re)Mobiliser sa matière grise après l’été
Et voilà qu’à force d’éplucher le web, nous sommes tombés sur une recherche issue du journal bimensuel américain intitulé l’International Journal of Business Administration*, datant de mai dernier. Cette étude, menée sur des étudiants, montre que le type de lectures auxquelles on s’adonne joue un rôle prépondérant sur le développement de nos capacités créatives, d’analyse et d’expression orale, sur le développement de notre mémoire ainsi que sur la richesse de notre expression écrite. Voilà qui est intéressant, pour nous comme pour vous.
Les sites internet de Psychology Today* et Qwartz* ont relayé l’information et expliquent que les étudiants friands de science-fiction, de blogs, réseaux sociaux et médias en ligne aux contenus divertissants mais peu pertinents (par exemple BuzzFeed ou Reddit) obtiennent un score moindre en rédaction que ceux qui lisent des œuvres littéraires plus sophistiquées. Cette deuxième catégorie à la rédaction travaillée absorbe aussi des articles scientifiques ou de la presse « sérieuse » (Capital, Le Monde, Courrier international) plutôt que des magazines « légers » (Cosmopolitan, Biba et autres). Bon, mais jusque-là, rien de bien nouveau sous le soleil, direz-vous. lustzone
Sauf qu’il faut bien avouer que cela nous recadre un peu. Surtout après l’été où l’on se laisse aller à ne pas forcer sur la matière grise. On a la plume rouillée. Et en notre qualité de rédacteurs, nous ne pouvons pas nous le permettre. Alors nous nous sommes penchés sur la mise en évidence de deux manières de s’atteler à la lecture pour devenir un meilleur écrivain.
On serait vous, on ne manquerait pas la suite de cet article et on suivrait immédiatement (si ce n’est pas déjà fait) la page Facebook de Web Omega !
Parmi les sources : http://www.sciedu.ca/journal/index.php/ijba/index https://www.psychologytoday.com/blog/prime-your-gray-cells/201606/what-you-read-matters-more-you-might-think http://qz.com/714987/what-you-read-matters-more-than-you-might-think/