Coup d’œil sur la numérisation de l’emploi -1

Sujet anxiogène s’il en est, on ne peut ignorer la numérisation de l’emploi qui va grandissant. Les mutations sont profondes, notamment dans les secteurs du commerce, de la banque et des agences de voyage, peut-on lire dans un article du Monde.fr réalisé le 13 mars. Résultat : « cette automatisation se traduit par la suppression de certains emplois peu qualifiés mais s’accompagne d’une montée en compétences justifiant d’intensifier la formation des salariés ».

Main de robot et main d'homme.

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Chez Web Omega, nous sommes spécialisés dans la réalisation de sites e-commerces ainsi que dans la stratégie de communication digitale des sociétés. Sociétés qui, pour certaines, n’existent qu’en ligne et ont abandonné l’idée même d’une présence physique. De leur côté, les métiers du digital (vaste domaine) sont en plein essor et ce n’est pas près de s’arrêter. Notre équipe de rédacteurs professionnels du référencement n’est pas encore dépassée par les robots. Au contraire, elle travaille avec. Mais comme nous allons le voir, ce n’est pas le cas de tout le monde.

Point sur les métiers automatisables

« Un métier est automatisable lorsqu’il consiste à effectuer des tâches répétitives ou suivant un processus précis fixé à l’avance. Il l’est d’autant plus si les relations sociales et l’usage des sens n’y sont pas décisifs », lit-on dans les colonnes en ligne du Monde.fr. Selon le Conseil d’orientation pour l’emploi, France stratégie et l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), il y aurait entre 9 et 30 % d’emploi automatisables en France, à moyen terme.

Dans l’ordre, les domaines de la distribution, de la banque, des médias et surtout du tourisme sont ceux dont la transition numérique est la plus avancée. Cela s’explique notamment par un coût horaire des robots intéressant, qui s’annonce même économique comparé à celui d’un humain d’ici 2020. Par exemple, si en 2005, l’utilisation d’un robot revenait à 50 euros de l’heure et celle de l’homme à 15 euros, en 2015 le rapport était déjà de 20 pour 18 euros et pourrait être de 10 pour 19 euros d’ici 2020. La logique économique aurait donc raison du facteur humain, à très moyen terme.


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Parmi les sources :
http://www.lemonde.fr/economie/portfolio/2017/03/13/numerisation-de-l-emploi_5093480_3234.html
http://www.coe.gouv.fr/
http://www.coe.gouv.fr/Detail-Dossier.html%3Fid_article=1354.html

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