La Côte d’Azur, ses palmiers, son soleil, ses plages… et ses routes encombrées ! Qu’on se déplace pour son travail ou pour le tourisme, Azur Chauffeur VTC est une société de VTC basée à Nice qui étend son secteur d’activité à toute la Riviera et qui vous soulagera de cette corvée qu’est la conduite quand on souhaite se concentrer sur autre chose (dossier urgent, journée de fête, etc.). Pourquoi vous en parle-t-on sur le blog de Web Omega ? Parce qu’il s’agit d’une de nos créations et qu’on s’est attelé il y a quelques temps à son référencement.
Archives de l'auteur: Carine Julia
Le groupe de maison de retraite Senectis rénove son site internet
Les établissements d’hébergement pour personnes âgées et dépendantes Senectis, groupe de maisons de retraite dans les Alpes-Maritimes, ont confié à Web Omega la refonte de leur site internet et entament avec nous une campagne de référencement, afin de faire connaître leurs résidences et les prestations uniques qu’elles offrent en termes de prise en charge spécifiques.
Remettre l’homme au cœur du web
Dans le dernier article du blog de Web Omega, votre agence web à Nice, on a commencé à parler de la place de l’homme par rapport à un outil qu’il a créé : le web. Le problème étant qu’il n’est plus l’utilisateur de l’outil mais en est devenu l’esclave. En tant que créateurs de sites web sur mesure, tout cela nous interpelle.
Au cœur d’internet, l’homme ?
Avec quelque 25 années d’existence qui ont transformé le monde, le web est évidemment un sujet de réflexion, mais aussi de propositions concrètes d’amélioration pour l’utilisateur. Des observations quant à son utilité, quant à la pertinence de sa pratique, quant à la praticité de sa forme. Quelques spécialistes se font aujourd’hui entendre pour alerter les internautes : on vole nos vies, mais nous pouvons les reprendre en main. Voilà de quoi faire sourciller tout acteur du web, du concepteur de site au référenceur web, comme votre agence web Web Omega.
Louez un bateau sans permis grâce au site internet seaZen
Un nouveau client a choisi Web Omega ! L’agence web vous présente seaZen, une initiative de loisir responsable. Les bateaux sans permis pour naviguer à partir de Beaulieu-sur-Mer ont désormais une fenêtre sur le web et vont vite se faire connaître !
Le droit d’auteur du rédacteur web – 2
Dans le dernier article du blog de l’agence web Web Omega, nous avons abordé le droit d’auteur du rédacteur web d’après ce que le Code de la propriété intellectuelle en dit. Passons maintenant à la pratique dans le monde de l’entreprise, avec ce que le Code du travail fait de ce droit d’auteur.
Ce que le code du travail dit
En tant que rédacteur web, vous cherchez à vivre de vos productions (rédaction de pages, articles, fiches…). Que vous les vendiez vous-même ou que vous travailliez pour une agence, il y a des règles qui viennent s’ajouter et nuancer celles vues précédemment.
En tant qu’indépendant
Sans mention spécifique lors de la vente de vos productions, cela signifie que vous cédez contre rétribution certains de vos droits d’auteur, plus précisément deux des droits patrimoniaux, et jamais les droits moraux (1).
Le droit moral
Cet attribut du droit d’auteur comprend plusieurs points. Il garantit l’apparition du nom de l’auteur, son droit de diffuser l’œuvre lui-même ou de confier cette partie à un tiers, le respect de l’œuvre et son retrait. Ce que vous produisez est vôtre, et à vos descendants et ayant-droits pendant 70 ans après votre décès, ensuite cela appartient au domaine public.
Le fait de vendre une version (digitale ou matérielle) de votre œuvre ne peut vous en retirer cette propriété incorporelle. En somme, les articles ou fiches que vous vendez, vous pouvez exiger d’en être reconnu l’auteur si cela vous chante. Comparez ça à un CD ou un tableau : vous l’avez acheté, vous l’écoutez ou le regardez, vous pouvez même le modifier si ça vous dit, mais l’œuvre de l’artiste existe toujours et est bien la sienne, quoique vous fassiez à votre copie.
Le droit patrimonial
Il consiste en trois points : le droit de reproduction, le fait de rendre votre œuvre matériellement diffusable (cela peut être numérique) ; le droit de représentation, le fait de publier l’œuvre. Ces deux attributs sont cessibles, c’est ce que vous monnayez. Le droit de suite (2), quant à lui ne peut vous être retiré et vos ayant-droits en héritent, c’est le fait de bénéficier d’une participation en cas de revente ultérieure (à hauteur de 4%).
Pour être au clair avec votre client et éviter tout malentendu quant à l’utilisation qu’il pourrait faire de votre texte après son achat, il est recommandé d’éditer un contrat pour chaque texte signifiant que vous lui en cédez les droits d’exploitation et, si vous le souhaitez, des clauses variables, s’ensuivra une négociation avec lui. Si cela n’a pas été fait, il est toujours possible et recommandé d’en discuter avant de porter l’affaire devant un tribunal (et perdre un client qui parlera de ce cas autour de lui autant que vous).
En tant que salarié
Le cas est compliqué par les on-dit, les confusions et les croyances généralement répandues, selon lesquels la production effectuée pendant les heures de travail appartiendrait à l’entreprise. On confond ici ce qu’un employé fabrique manuellement, ce qu’un ouvrier réalise en usine par exemple, avec une œuvre de l’esprit, qui tombe du fait sous le coup de la propriété intellectuelle et suit tout ce que nous avons vu précédemment.
Il arrive souvent que l’employeur ajoute une mention qui, croit-il, lui donne les droits d’auteurs des textes créés au bureau, sauf que la loi (3) interdit de céder a priori ces droits. Cette mention est sans valeur. L’employeur doit, pour prétendre avoir le droit de monnayer le contenu textuel d’un site, éditer pour chaque texte un avenant qui stipule la cession des droits d’exploitation. Lourd ? Vous avez dit lourd ?
Enfin, malgré toutes les mentions que l’employeur pourrait ajouter au contrat par avenant -s’il y a pensé c’est déjà ça- aucune ne peut faire perdre au rédacteur son droit moral ni son droit de suite. Cela signifie qu’il pourra toujours demander à être reconnu comme l’auteur des textes et dans le cas où le client de l’agence souhaiterait revendre son site contenant des textes d’un rédacteur pointilleux, celui-ci peut demander 4% sur la revente des textes (et ses ayant-droits jusqu’à 70 ans après sa mort !) si cela dépasse 750 euros. Bon, ça fait 30 euros. Franchement, pour éviter des procédures et des frais d’avocats, puisque le rédacteur va gagner, ça vaut le coup de lâcher 30 euros !
Ce que les jurisprudences disent
Oui, le rédacteur va gagner. Les jurisprudences ont jusqu’à présent toujours donné raison à l’auteur d’œuvre de l’esprit (4). Donc, si un ancien client a choisi après diffusion de vos écrits sous votre nom de se les attribuer, ce n’est déjà pas élégant, mais surtout il n’en a pas le droit si vous ne l’aviez pas mentionné dans un contrat. Même si vous travaillez dans une agence.
Sources : 1 https://www.dgdr.cnrs.fr/daj/propriete/droits/droits3.htm 2 https://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do?idSectionTA=LEGISCTA000020085922&cidTexte=LEGITEXT000006069414&dateTexte=20091228 3 L131-1 https://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do?idArticle=LEGIARTI000006278955&idSectionTA=LEGISCTA000006161639&cidTexte=LEGITEXT000006069414&dateTexte=20160617#LEGIARTI000006278955 4 http://www.les-infostrateges.com/article/0802303/le-droit-d-auteur-des-salaries
Le droit d’auteur du rédacteur web – 1
La rédaction web, un hobby pour certains, un passe-temps, voire un jeu. Pourtant, c’est un métier, avec ses règles, ses codes, et la loi pour l’encadrer. N’en déplaise à ceux qui pensent que c’est facile parce qu’écrire, tout le monde l’a appris à l’école, c’est en vérité loin d’être répandu que de savoir analyser des données pour les retranscrire de façon originale dans un texte qui répond aux exigences du web. C’est au moins aussi facile que les autres métiers d’une agence web, comme d’aligner du code (c’est un peu comme parler une autre langue, ça aussi on l’a appris à l’école), réaliser des logos (alors là, mon neveu fait déjà des trucs géniaux en petite section) ou prospecter (comment ça il se balade pas le commercial ?), donc pas (pour ceux qui auraient un doute).
Passons cette grogne pour parler d’un point méconnu de ce beau métier, qu’il partage avec d’autres professions créatives : le droit d’auteur. Chez les rédacteurs web comme chez les dessinateurs, les créateurs de jingle, les stylistes, etc. on ne sait souvent rien de ce droit jusqu’au jour où est confronté à une situation douteuse : ce client, là, il utiliserait pas mon travail de façon illégale ? N’outrepasserait-t-il pas ses prérogatives en modifiant/diffusant/faisant du beurre avec ma production ?
Mot-clef et loi de Zipf
La linguistique appliquée au référencement, ça parait évident, mais ce n’est pas de la tarte quand il s’agit de statistiques et de fonctions. Pour les notions linguistiques pures, retournez dans le premier volet, on passe maintenant à l’application concrète sur le blog de l’agence web Web Omega.
Mot vide, mot plein, mot-clef
En matière de référencement, on est confronté à des concepts, des recommandations, des usages artificiels. Parmi cela, il se trouve les notions de mot vide, de mot plein et par extension celle de mot-clef. Puisque dans notre agence web on prône le référencement naturel, la qualité du contenu plutôt que la conformation rigide aux règles SEO -et qu’on aime la langue française- on ne peut que refuser d’appliquer aveuglément des instructions mécaniques en la matière. On parie sur la finesse des moteurs de recherche.
Acheter des J’aime sur Facebook
Avoir des milliers de fans sur Facebook, c’est le rêve de vous, entrepreneur, en particulier si vous possédez un e-commerce, car vous espérez qu’ils sont autant d’acheteurs. Jetez un œil au dernier article de l’agence web à Nice si vous souhaitez en savoir plus sur les méthodes de partages sur ce réseau social. Restez ici si vous vous intéressez à l’achat de J’aime.
La tortue européenne rattrape le lièvre Google
Google s’entête dans un leitmotiv qui pourrait bien, à force, ne plus servir de pare-feu contre les autorités européennes : « Nous respectons la législation de chacun des pays ». La fiscalité française semble pourtant bien décidée à trouver à redire à ce discours et de temps en temps, les enquêteurs sortent de leurs bureaux pour une opération d’envergure. Quels sont les enjeux de la perquisition du 24 mai dernier dans les locaux de Google France ? On s’est posé la question à l’agence web Web Omega.
Comment avoir beaucoup de J’aime sur Facebook
Dans une agence web comme Web Omega, puisqu’on est spécialisé dans le référencement naturel, il arrive que les clients nous demandent ce qu’il en est des méthodes pour acquérir des J’aime, des fans, de l’audience (reach) sur Facebook. Puisqu’il est aujourd’hui impensable de créer un site vitrine ou un e-commerce sans son écho sur le réseau social n°1, il est normal de s’inquiéter de la visibilité qu’on y a. Voici quelques outils, recommandations et défenses en la matière pour les néophytes.
Le smartphone bon pour la santé
Votre agence web s’intéresse aujourd’hui aux derniers développements relatifs aux smartphones qui présagent un avenir en pleine forme, s’ils viennent à se généraliser et à provoquer quelques changements dans les habitudes des concernés (patients, médecins, autorités). Via le quantified self, la santé est perçue différemment. Jusqu’à présent, on tentait de conserver son état grâce à une alimentation équilibrée et à la pratique d’activités physiques. Si une maladie survenait, eh bien c’était la faute à pas de chance et on filait chez le médecin. Aujourd’hui, on se fixe des objectifs à atteindre grâce à tous nos efforts, mesurables avec des applications et des accessoires, sans intervention ou presque du corps médical. On voit tout de suite qu’il y a un souci quelque part…
Dormez connecté
On vous a parlé récemment du Consumer Electronic Show 2016 sur le blog de Web Omega, agence web à Nice, mais on ne vous a pas parlé d’un domaine qui, paradoxalement, excite les chercheurs et dont les consommateurs attendent beaucoup : le sommeil. Les aides high-tech pour dormir, ce n’est pas nouveau, mais ça s’améliore avec le temps (comme le vin). On fait le point sur les avancées en la matière.
Ownsport, des coachs sportifs partout en France et sur le Net avec Web Omega
Votre agence web Web Omega présente un nouveau client en référencement personnalisé, l’agence de coachs sportifs Ownsport. Chaussez vos baskets !
Leader de l’offre de coaching sportif à domicile partout en France, Ownsport est un site internet qui permet à ses membres d’obtenir des séances de sport personnalisées à un prix imbattable. C’est le tout premier site de coaching agréé Service à la personne et qui, dans ce cadre, fait bénéficier ses membres de 50 % de réduction d’impôts avec le système de chèque emploi service universel (CESU).
Politique de retour, une obligation qui devient votre atout
Les sites e-commerces, dont votre agence web Web Omega est une spécialiste de la conception, ont de multiples avantages à mettre en avant pour attirer les clients et générer un bon chiffre d’affaires. Produits recherchés, prix imbattables et services aux petits soins sont autant de qualités sur lesquelles les commerçants d’Internet peuvent compter. Parmi ces leviers, la politique de retour semble rébarbative de prime abord, mais c’est un devoir légal qui peut facilement se transformer en avantage pour vous, l’e-commerçant.
Cliquez, c’est livré (ou presque)
Les projets e-commerciaux sont en plein essor (L’e-commerce évolue), mais il reste une ombre au tableau idyllique d’un secteur en croissance à deux chiffres, c’est l’avis des consommateurs. C’est d’autant plus important qu’ils le donnent publiquement sur Internet. Votre agence web niçoise fait le point sur la bête noire de vos clients : la livraison.
L’e-commerce évolue
Chez Web Omega, nous accompagnons nos clients commerçants en ligne depuis 2008 dans l’aventure des sites marchands. Pour être plus efficaces et rentables, les sites e-commerces conçus par notre agence web sont ergonomiques et compatibles avec les dernières exigences technologiques, et notre pôle référencement travaille d’arrache-pied à améliorer leurs positions dans les moteurs de recherches.
Vous pensiez que l’e-commerce était un soufflet qui allait retomber ? Détrompez-vous, en 2012 déjà, les chiffres laissaient entrevoir l’ascension du secteur, et cette ascension s’est vérifiée en 2015.
2016, l’année de la lumière ?
Cette année, plusieurs technologies dépendant de la lumière devraient être utilisées dans nos appareils, et d’autres en développement font de belles promesses. Lumière sur… la lumière, sur le blog de l’agence de référencement Web Omega.
Les tendances du CES 2016 partie 2 – À votre service
Après les prouesses technologiques dédiées au divertissement présentées au Consumer Electronic Show, l’agence web Web Omega a choisi de vous parler de celles qui vont rendre la vie facile (et des gadgets inutiles qui voguent autour de cette catégorie).
Les tendances du CES 2016 partie 1 – Du fun
En 2016, la technologie de l’électronique va où ? Avec la conférence CES (Consumer eletronic show) de Las Vegas, on peut s’attendre à une bonne dose de fun, mais aussi d’utile autour de vos TV et autres appareils de quantified self. L’agence de création de site à Nice Web Omega vous en donne un avant-goût.
Électroniquement fun
Alors oui, pour la plupart des personnes, l’électronique et ses progrès n’ont pas plus d’importance que les derniers jeux vidéos sortis, peut-être d’ailleurs parce que ce sont deux domaines bien intriqués l’un à l’autre (il faut bien un bon écran et une console costaude pour jouer avec les meilleurs paramètres).
Mais 2016 promet des joujoux électroniques qui sortiront enfin du salon. Restons pourtant un instant sur les TV, puisqu’il faut noter que la mention 3D est désormais obsolète et remplacée par l’UHD, à savoir l’ultra haute définition. Passons maintenant au jardin avec les drones.
Ce sont eux les jouets pour adulte de 2016 ! La législation ayant entériné que les engins volants avaient avant tout pour fonction d’amuser leur propriétaire, la paranoïa des affaires de survol de centrale nucléaire étouffée, et surtout parce que les entreprises collent à la virgule près à la régulation aérienne américaine (réputée plus stricte), on pourra enfin sortir son drone et faire une balade volante comme d’autres jouent au frisbee. Vous avez froid ? Revenez à l’intérieur.
L’Oculus Rift a certes été distribué en kit de développement depuis 2013, son lancement officiel est bien pour cette année. Nous vous en parlerons plus en détail prochainement, mais on peut avancer sans prendre de risque que l’effet « nouveauté » n’est pas complètement essoufflé et que l’étiquette « gadget » ne s’est pas collée à l’appareil, du coup il a de belles chances de devenir une vraie nouvelle façon de se divertir.
Pour savoir ce que le CES va fournir de pratique en termes d’appareils électroniques, suivez le blog de l’agence web Web Omega.
Le réseau de location de bureaux Buro Club opte pour le référencement de Web Omega
L’agence web à Nice Web Omega présente régulièrement ses nouveaux défis, en création de sites internet haut de gamme ou en référencement. En ce mois de novembre, l’enseigne Buro Club a choisi notre agence pour optimiser la visibilité de son site sur internet.
BricoMac, spécialiste de la réparation d’iPhone, choisit le référencement par Web Omega
Le mois de novembre est plein de nouveaux chalenges pour l’agence web Web Omega ! Parmi les nouveautés en web design, création de site et référencement, BricoMac représente un défi de taille.
Les Google Glasses de luxe sont arrivées
Article mode aujourd’hui sur le blog de l’agence web Web Omega ! On vous a déjà parlé de la Google Glass voilà un an, il est temps de vous présenter les nouveaux modèles qui ne vous font plus passer pour des rigolos mononoclards.
Le divertissement de Turing
Le monde du web a tremblé le 7 juin dernier et les médias spécialisés ont fait une bulle d’Eugene Goostman, un programme informatique qui aurait passé le test de Turing. Entre le coup de pub sensationnaliste et la réelle avancée technologique, l’agence web Web Omega revient sur le test de Turing.
Rendons à César ce qui lui appartient, le test de Turing au cœur de cette émulation était une idée de jeu lancée à l’aube de l’ère informatique, en 1950, dans un article écrit par l’informaticien, mathématicien et cryptologue Alan Turing. Le jeu d’imitation décrit demandait à des juges humains de reconnaître leurs pairs, une machine se cachant parmi eux. Il ne s’agit pas vraiment de juger de l’intelligence de la machine, dans le sens où on lui demande seulement de converser 5 minutes par écrit avec des personnes et que cela ait l’air humain.
Dès sa diffusion, ce test a soulevé de nombreuses objections et il faut dire que les juges étant humains, il faut déjà supposer qu’eux sont capables de juger de l’humanité des autres, ce qui est un grand prérequis, les résultats le prouvent. Les conditions du test aussi peuvent faire sourire, à l’époque Turing s’était inspiré d’un jeu de société où un homme et une femme s’enfermaient dans deux pièces et leurs invités dans une autre devaient deviner qui est qui, seulement à l’aide de la conversation par messages écrits, le piège étant que les deux devaient se faire passer pour Madame.
Concrètement, le test se déroule donc sous forme de conversation, façon MSN Messenger, Facebook Messenger, etc. Un juge est mis en relation avec soit un autre juge, soit la machine. S’il vient à douter de l’humanité de son interlocuteur avant 5 minutes, le test est raté, que son interlocuteur soit humain ou pas. Donc le test peut considérer que des personnes n’ont pas un niveau d’humanité suffisant. Si plus de 30% des juges ne parviennent pas à douter de l’humanité de la machine au bout de 5 minutes, celle-ci aura passé le test avec succès.
Cleverbot en 2011 avait déjà réussi, lors d’un test grand public en Inde pendant un festival de sciences, à passer le test haut la main avec 59,3% de juges le pensant humain (et 63,3% des humains jugés humains par leurs pairs). Eugene n’est donc pas un précurseur, d’autant que plusieurs points doivent nuancer sa réussite. Il s’est officiellement fait passer pour un gamin ukrainien, donc les juges supposaient déjà qu’il ne maitrisait pas très bien la langue anglaise. Et avec ça de son côté, il n’a berné que 33% des juges.
Le buzz se sera donc vite éteint, puisque des spécialistes se sont empressés de remettre Eugene et le test lui-même à leur place de chatbot (un logiciel de discussion) et de divertissement pour geek.
123 Vente Flash, l’e-commerce à toute allure !
L’agence web Web Omega présente un tout nouveau client auquel vous pourriez vite devenir accro : 123 Vente Flash. Des réductions, des occasions à ne pas louper, des bons plans partout en France, c’est le shopping 2.0 !
Les Français mangent plutôt que n’achètent
Révélation sur le web ! Les consommateurs français qui achètent en ligne préfèrent manger que cliquer. Si cette information vous parait futile, elle peut intéresser les propriétaires d’e-commerce, comme d’autres données de cette étude de comportement des internautes sur le site Idealo. Votre agence web Web Omega interprète les chiffres pour vous, les e-commerçants.
Pourquoi il faut mettre des vidéos de vos produits en ligne
L’agence web Web Omega scrute régulièrement le net pour en adopter les nouveautés et, quand c’est possible, les rendre utiles aux clients. Nous vous parlions il y a quelques temps de la prédominance du média écrit sur internet pour le référencement, devant l’audio et la vidéo. Cette dernière pourrait bien être la prochaine voie à suivre pour rentabiliser un e-commerce.
Zaacom à la rescousse des sites Penguin-pénalisés
De nouveauté en nouveauté, le monde du web ne cesse d’évoluer et les métiers autour de lui aussi. À la découverte des professions 2.0, l’agence web Web Omega vous propose d’en savoir plus sur Zaacom, une équipe spécialisée dans le sauvetage des sites pénalisés par Google Penguin (entre autres).
Les accents et le référencement
Dans un précédent article à propos du référencement et de l’orthographe sur le blog de l’agence web Web Omega, il s’agissait d’entamer ce vaste sujet. Entrons maintenant dans le vif, à commencer par les accents. Comment gérer une campagne de référencement sans vendre son âme au diable, c’est-à-dire les moteurs de recherche non-français qui ne savent pas trop quoi faire de nos accents ?
Look’in Nice, notre nouveau client en référencement
L’agence web Web Omega est heureuse de présenter le site Look’in Nice, le projet d’une entreprise niçoise dirigée par Rennan Rossi, spécialiste du relooking à Nice. Loin du phénomène de télévision que nous connaissons, le conseil en image est un métier qui fait partie des outils qu’on peut utiliser pour affirmer sa personnalité face à ses interlocuteurs.
Pour toi, rédacteur web amoureux de l’orthographe…
Une certaine légende urbaine traine sur Internet : ce serait la fin de l’orthographe. Les scientifiques estiment le début de sa chute aux environs de 2000, avec l’apparition du SMS. Certes, auparavant les contrevenants existaient mais comme il n’y avait pas de diffusion de masse, et bien cela n’était pas aussi visible. La faute fut reprise quasiment immédiatement par les réseaux sociaux en plein essor, où les jeunes (et moins jeunes) balançaient, et balance encore aujourd’hui ce qui leur passe par la tête sans la crainte que Mme. Biscondi leur chauffe les oreilles avec un puissant « Les « si » n’aiment pas les « rai » ! » ou bien « Rappelle-moi la définition du verbe « croiver » je te prie… ». Cependant, les moteurs de recherche ont aussi leur part de responsabilité dans la déperdition orthographique et, par un tour pervers, les rédacteurs web sont parfois bien obligés d’utiliser des mots-clefs grammaticalement incorrects, voire complètement barbares. En tant qu’agence web spécialisée dans le référencement naturel, Web Omega dénonce cette dure condition que subissent les rédacteurs.
Le média écrit reste majoritaire pour le référencement
Se faire voir sur internet en tant que site marchand, rien de plus facile, il suffit d’avoir un profil sur un des nombreux réseaux sociaux ! Mais se faire écouter, lire et observer, pour que cela ait du poids en termes de rentabilité pour votre e-commerce, là, c’est un peu plus compliqué. Heureusement, votre agence de création de sites web Web Omega est spécialisée en référencement de site internet. Continuer la lecture
Knowledge Graph et référencement, pour le meilleur !
Enfin ! Enfin un moteur de recherche se met à la place des utilisateurs ! Le Knowledge Graph de Google, bien qu’à ses débuts, a pour objectif de comprendre réellement ce que vous voulez savoir, pour vous donner la réponse la plus pertinente, et plus seulement une liste de liens à farfouiller pour trouver votre réponse. C’est une révolution aussi pour la création site e-commerce, puisqu’il va falloir s’adapter à cette nouveauté, qui concerne essentiellement le référencement site internet.
C’est (bientôt) fini le temps où, derrière votre écran, vous vous décarcassiez la tête pour trouver une combinaison de mots-clefs qui vous permette de trouver la réponse à votre question. Mine de rien, avec les dérives de la recherche basée sur les mots-clefs, chaque internaute s’est transformé en spécialiste du moteur de recherche sans le savoir. Rappelez-vous, la première fois que vous vous êtes mis devant Google, vous avez spontanément posé une question, « qui a réalisé Point Break ? », puis au fur et à mesure de votre pratique, vous avez changé de sémantique pour taper plutôt « point break réalisateur ». Ce qui a eu pour conséquence, pour chercher ne serait-ce qu’un livre quand on a oublié le titre et qu’on ne se rappelle que de détails, de devoir taper et retaper des mots-clefs, lire une page, une autre, retaper de nouveaux mots-clefs. On a cru que ce foutu moteur de recherche était vraiment niais, alors on tapait façon télégramme : « livre léonard de vinci femme tableau ». Pour trouver… rien. On a réessayé les phrases bien construites : « le livre qui parle de la femme qui est censée apparaitre sur le tableau de léonard de vinci ». Depuis peu cela donnait quelque chose (comment a-t-on pu oublier Da Vinci Code ?), même s’il n’y a que le premier résultat qui soit bon. Cela signifie en somme que Google, comme vous, comprend mieux quand vous parlez normalement. Autre avancée remarquable, avant, Google vous proposait des recherches ; maintenant, il vous apporte de vraies réponses. Mais il n’est pas sûr (de lui, de vous) donc il donne le choix grâce au Knowledge Graph.
Si vous possédez un site marchand, cela vous concerne directement puisque vos clients potentiels vont procéder de la même façon que vous pour vous trouver (après tout, vous êtes aussi un client potentiel pour d’autres boutiques en ligne). Pour manifester clairement que vous êtes le meilleur, avez les meilleurs produits, au meilleur prix avec la meilleure livraison, il va falloir le faire comprendre au Knowledge Graph, et c’est un peu différent qu’avant, quand il suffisait de bourrer vos méta-balises avec des mots-clefs. De plus le Knowledge Graph intègre depuis quelques semaines des publicités dans ce nouveau cadre d’information.
De l’obligation d’avoir un profil Google+
Pour les entreprises, les marques et toutes les boutiques en ligne qui n’avaient jusqu’à présent que deux options pour se faire connaître, le référencement naturel ou le payant (Google Adwords), le Knowledge Graph apporte une nuance. Rien qu’une agence web ne puisse faire pour vous, puisqu’il s’agit de créer (si ce n’est pas encore fait) un profil Google+ et de l’optimiser pour le Knowledge Graph. En effet, ce sont en partie les informations que vous renseignez dans ce réseau social qui apparaîtront dans le fameux cadre. C’est plutôt simple à faire, car lorsque vous créez un compte gmail, vous avez d’office un compte G+ joint, et si vous mettez une adresse, des photos et une visite virtuelle, ces informations apparaissent sur Google Map et maintenant également sur le Knowledge Graph. Pour un site marchand, remplir soigneusement toutes ces données est primordial pour offrir à vos clients une carte de visite complète et les inciter à franchir le pas (ou plutôt le clic).
Des résultats plus pertinents pour les utilisateurs
Le Knowledge Graph est capable de distinguer les nuances. C’est là toute son originalité et la révolution qu’il représente. C’est important car en réduisant l’angle de la recherche, Google la rend plus pertinente encore qu’en se basant sur les mots-clefs et le tissage des liens (de façon basique, c’est ce dont il s’agissait avant pour la recherche Google). Le client tape des mots-clefs, Google lui offre plusieurs options de sens, à force de restreindre sa cible le client tombe sur ce qu’il cherche, c’est-à-dire vous !
Des clients mieux ciblés
Autant les utilisateurs trouvent plus facilement ce qu’ils cherchent grâce au Knowledge Graph, autant les e-commerces trouvent de meilleurs visiteurs. Toujours grâce à la capacité de compréhension du Knowledge Graph, un visiteur qui vient sur votre site aura suivi un chemin balisé selon ses souhaits, donc il y a plus de chances qu’il soit satisfait, et devienne un client fidèle.
Des statistiques plus efficientes
Puisque les utilisateurs ont désormais un accès direct à l’information recherchée, les pages qui leur sont proposées sont censées correspondre exactement à ce qu’ils veulent. Il devrait y avoir une incidence sur le taux de rebond, c’est-à-dire quand un internaute quitte votre site après n’avoir consulté qu’une page, ce qui arrivait principalement car cela ne correspondait pas à ce qu’il voulait (recherche trop vague, site qui travaille des mots-clefs larges pour ratisser large). Ce taux devrait réduire car le Knowledge Graph aura épuré les résultats les moins pertinents, donc si l’utilisateur atterrit sur votre site, c’est qu’il doit y trouver un intérêt.
Des mots-clefs plus contextuels
Il y a encore peu, compiler des mots-clefs n’avait pas de sens pour le référencement, puisqu’il fallait surtout trouver les combinaisons de mots les plus tapées. Par exemple, pour un site qui vend des produits de beauté, il y a peu de chance que les internautes tapent « boutique en ligne de produit de beauté » mais plutôt simplement « produit de beauté ». Avec le Knowledge Graph, il va falloir référencer en contextualisant. Il faut se définir de la façon la plus juste possible et éviter les données vagues qui avant pouvaient tout de même ramener des clients (mais qui, on l’a vu, favorisait aussi un fort taux de rebond).
Google recentre ainsi sa principale activité sur l’utilisateur. Ce retour aux sources, qui est sa règle n°1, est une amélioration pratique. Cela permettra par exemple de faciliter le passage aux requêtes orales avec la Google Glass par exemple, ou les téléphones sous Android. À termes, nous allons réellement converser avec Google et obtenir des informations intéressantes.
Quant à la crainte de voir vos clients rester sur le pas de porte virtuel de votre site, elle est infondée. Si vous êtes un site marchand, les visiteurs seront toujours obligés d’entrer pour passer leur commande, créer un compte et payer. Du moins Google n’a pas encore étendu le Knowledge Graph à ce niveau.
Le Knowledge Graph fera de Google une entité intelligente
Nous vous avons parlé il y a peu du Facebook Graph Search, mais il n’y a pas que ce réseau social qui applique la théorie des graphes pour faciliter la vie des utilisateurs. Google a lancé le 16 mai 2012 pour les États-Unis le Knowledge Graph, c’est (pour faire court) le cadre d’informations que vous trouvez de plus en plus souvent sur le côté droit de votre page de résultats de recherche. Pour arriver à cela, Google a accompli encore une fois un travail de géant. L’agence web Web Omega s’est intéressée à cette nouvelle fonction de Google.
Un graphe est une représentation mathématique des liens qui unissent les choses, cela permet de comprendre les rapports entre les entités, quels sont les liens les plus courts qui mènent d’une chose à l’autre, le chemin le plus long aussi. Ce que Google initie avec le Knowledge Graph, c’est une nouvelle façon de procurer aux utilisateurs ce qu’ils demandent, c’est-à-dire des informations. En améliorant l’application de la théorie des graphes sur les données qui se trouvent sur les sites internet, Google est en passe de rendre son moteur de recherche vraiment intelligent, compréhensif dans le sens où il sait de quoi vous parlez. Les ingénieurs de Mountain View pourvoient le moteur de recherche d’une capacité bien humaine, l’entendement. Il passe de moteur de recherche à moteur de connaissance (knowledge en anglais).
Pour faire simple, à l’origine la fonction de Google et des autres moteurs de recherche était de trouver le plus vite possible toutes les pages internet qui contenaient les mots que vous aviez tapé dans la barre, peu importaient le contexte, le sens et l’intérêt pour l’internaute. En affinant de plus en plus les modalités de pertinence, Google rendait peu à peu son moteur intuitif (mais pas encore intelligent). Non seulement il vous proposait les pages qui contiennent ces mots-clefs mais en plus il les classait selon l’intérêt que d’autres utilisateurs avaient manifesté avant vous, en cliquant sur telle page plutôt qu’une autre, mais là encore sans distinguer le sens. Ce n’était pas encore la panacée puisqu’il arrivait par exemple que des milliers d’internautes cliquent par réflexe sur le premier lien proposé alors qu’il n’était pas d’un grand intérêt, mais à force de clics, Google le laissait tout de même en première position. Autre indice que le moteur de recherche ne faisait que sortir de la caverne, la proposition de mots-clefs pendant que vous tapiez dans la barre était souvent un ramassis de bêtises (qui font bien rire les internautes). Bref c’était un peu la préhistoire et l’antiquité des moteurs de recherche.
En lisant notre article Comment Google cherche, vous aurez un aperçu de la recherche telle qu’elle était dernièrement, sa dernière évolution avant le Knowledge Graph. Avec cette nouvelle fonction, la pertinence se situe désormais au-delà des liens, puisque les ingénieurs de Google veulent chosifier les mots-clefs. Concrètement il faut que le moteur de recherche comprenne que ce que vous tapez, ce ne sont pas que des mots, ces mots représentent quelque chose de concret pour vous, et vous avez besoin de savoir quelque chose à ce propos. Pour vous apporter la meilleure réponse, Google change pour apprendre, apprendre à comprendre les choses et non plus seulement les liens (Things, not strings comme le disait Amit Singhal, l’ingénieur qui a annoncé cette nouvelle fonction pour le web américain en mai 2012).
Google a amélioré la recherche de trois façons. D’abord en catégorisant les résultats selon les ambiguïtés. En effet, il arrive que les mots que vous tapez aient plusieurs sens. Au lieu de proposer les résultats de toutes ses nuances pêle-mêle, Google vous propose les résultats d’une signification, la plus conséquente en termes de recherche, puis il met à disposition sur le côté les autres choix. Si par hasard c’était un de ceux-là que vous cherchiez, vous n’avez qu’à cliquer pour obtenir vos réponses. Par exemple vous avez tapé « game of thrones » pour trouver le nom de l’auteur du livre, histoire de vous y mettre parce que la série télé ne va pas assez vite à votre goût, le Knowledge Graph vous propose d’abord la série télévisée, vous cliquez sur la série littéraire pour obtenir votre information.
Deuxièmement, et c’est la partie la plus visible de l’iceberg, Google prépare un résumé aux petits oignons pour vous éviter de rentrer dans les sites et de perdre du temps à la recherche de l’information tant désirée. Pour l’instant cela concerne les personnages célèbres, les lieux importants, les notions de connaissances (en sciences, en art, en religion, etc.), et aussi toutes les personnes et les sociétés qui ont un profil Google+. Tout n’y est pas encore, mais ça va venir. Ce résumé est extrait de diverses sources, officiellement Freebase, Wikipedia ou le World factbook de la CIA et beaucoup d’autres, considérées pertinentes parce que des milliers d’utilisateurs ont surfé dessus après avoir tapé les mêmes mots-clefs que vous. En plus, les quelques informations qui apparaissent dans ce nouveau cadre sont mises en avant de façon intelligente. Google sait ce que les internautes cherchent en priorité à propos d’un sujet, par exemple dans la grande majorité des cas la recherche « Robert Wadlow » concerne sa taille (c’était l’homme le plus grand qui ait existé), donc cette donnée va obligatoirement apparaître. Plus besoin de taper « robert wadlow taille » ni de rentrer dans la page Wikipedia ou Guiness Book of records pour la trouver, elle est là, sous vos yeux.
La troisième amélioration consiste à anticiper votre prochaine recherche et vous faire découvrir des nouveautés à propos de votre sujet. Reprenons l’exemple de Game of thrones. Quand vous avez cliqué sur le choix de la série littéraire, non seulement le cadre s’est rempli d’informations concernant exclusivement ce sujet, mais en plus les résultats de recherche eux-mêmes (sur la gauche) s’y sont restreints. Les mots-clefs ont été modifiés pour donner ce que Google estime plus pertinent, grâce à sa nouvelle intelligence. Vous cherchez un endroit pour jouer à Aviator ? Jouez à Aviator au casino en ligne Pin-Up . C’est pourquoi il y a « a song of ice and fire » à la place de « game of thrones » dans la barre de recherche, cela correspond plus à la série de livres puisque c’est ainsi que George R.R. Martin l’a nommée en anglais.
Le Knowledge Graph, c’est donc un peu votre bibliothécaire, votre médecin, Sherlock Holmes, Freud, Einstein, et même Robert Langdon, bref tout ce que vous pouvez imaginer comme expert dans son domaine, et qui vous restitue ses connaissances dans un petit cadre. Comme tout ce que fait Google, les travailleurs du web surveillent de très près les conséquences de chaque avancée pour adapter leur stratégie, en particulier pour le référencement internet et nous vous tiendrons bientôt au courant de ce que le Knowledge Graph change pour les référenceurs.
Web Omega est toujours en plein centre du Palais des expositions à la Foire de Nice !
L’équipe de Web Omega, votre agence de création de sites internet, vous attend à la Foire de Nice au si vous cherchez à concrétiser un projet de site ou à le rendre visible sur internet.
Web Omega présente sa nouvelle image
Cela doit bien faire quelques mois que le projet grandissait dans le giron de Web Omega, votre agence de création de sites web, et ça y est, elle est arrivée. La nouvelle image de l’agence, concrétisée dans un nouveau site, le tout en clair et en couleurs !
Google + est bien en train d’arriver
Il y a encore un an, toute la sphère internet pensait ça :
Pour les non-anglophones : « Arrêtez avec Google+, ça n’arrivera pas! ».
Les raisons qui ont poussé les internautes à rejeter d’emblée Google+ sont d’une part que, niveau réseaux sociaux, on en avait pas mal sous la main, dont un qui est encore et toujours plus que majoritaire en termes d’inscrits et de temps passé dessus (oui, il s’agit de Facebook) ; d’autre part, Google a encore une fois agit, en apparence du moins, en grand bêta naïf : « Allez, s’il-vous-plait, laissez-moi une place au soleil ! ». Et on en a soupé de ce faux-semblant de Google !
Né en 2011, Google+ était donc bien mal parti, sauf que depuis quelques semaines, les compteurs d’inscriptions en ont fait le dauphin de Facebook. En à peine 2 ans d’existence, ce nouveau réseau social est passé de la risée totale à la deuxième place. La rédaction de l’agence web Web Omega lance quelques hypothèses sur ce succès fulgurant.
Nouveau client de Web Omega : Eko Minceur
Web Omega est toujours fière de présenter ses nouveaux clients, particulièrement quand il s’agit de projet complet, orchestré de A à Z par les différents pôles de l’agence, la création de site haut de gamme et le référencement internet. Depuis le mois de janvier, Eko Minceur est en ligne grâce à la collaboration de votre agence web et de cette équipe de coachs spécialisée dans la diététique et la phytothérapie minceur. Continuer la lecture
Not provided, not provided partout
Précédemment, dans le Monde du web : Lorsque l’on souhaite mieux connaître ses internautes et ce qui les amène chez nous (ou chez nos clients), un des premiers outils utilisés par nos référenceurs est bien sûr l’analyse des mots clés, ceux que nos chers visiteurs ont tapé dans Google avant d’atterrir sur notre site. Hors, depuis quelques temps, ces informations précieuses disparaissent de nos rapports, subtilement remplacées par une mention mystérieuse, « Not provided ». Petite analyse sur ce sujet inquiétant.
Comme toute la communauté internet ces derniers mois, notre agence web a constaté et subi la vague des « Not provided ». Impactant le référencement naturel, les choix de Google (et bientôt Bing) qui restreignent la portée, l’efficacité et même tout simplement l’utilité des logiciels SEO ne sont en plus pas forcément ingénus. Les démarches Google-iennes qui mènent à cette situation rajoutent quelques teraoctets dans la balance, du côté « méchant déguisé ». Continuer la lecture
Votre vie (privée) ne tient qu’à un clic !
Le big data, vous connaissez ? Si ce n’est pas votre cas, ce qui va suivre vous en explique quelques points, à vous ensuite de décider si vous continueriez à utiliser internet sans vous poser de question… En tant qu’agence création site web, à Web Omega nous nous interrogeons souvent sur notre outil et terrain de travail, internet, et les méthodes appliquées par les grandes sociétés pour le perfectionner, dont la récupération de données.
Didouch, un nouveau site e-commerce conçu par Web Omega
L’ agence web Web Omega est fière de présenter sa nouvelle réalisation, un site e-commerce dédié à la vente en ligne de bijoux fantaisie haut de gamme : Didouch. Lancé cette semaine, ce projet a été mis au point d’après l’idée originale d’Élodie Sabbah, une jeune entrepreneure qui aime aussi imaginer et fabriquer ses propres pièces. Continuer la lecture
Materia, l’autre façon de concevoir l’habitat
Web Omega, votre agence web Nice, est fière de présenter son nouveau défi en matière de référencement internet : optimiser la visibilité sur le web de la société Materia. Continuer la lecture
Annuaires, marche à suivre
Le blog de Web Omega, agence web Nice, propose aujourd’hui à ses lecteurs d’en apprendre un peu plus sur les mystères du web et du référencement internet en particulier. Nous vous avons déjà parlé de l’optimisation des pages de votre e-commerce et des notions globales du PageRank, de la méthode appliquée par les moteurs de recherche, des outils pour améliorer votre position, etc. Cette fois-ci nous nous penchons sur un aspect indispensable du référencement naturel, l’inscription aux annuaires. Web Omega vous dévoile leurs secrets de polichinelle.
PageRank, atteindre le bon niveau
Les clients de Web Omega, agence web Nice, qui cherchent à entrer dans l’e-commerce finissent toujours par se poser une question : À travers le monde du web, comment faire pour que mon site internet tout nouveau tout beau accède à la notoriété ? Il faut savoir que sur le net, les seuls publics qui doivent vous intéresser en tant que commerçant, ce sont les moteurs de recherche, car ce sont eux qui mèneront les vrais acheteurs sur votre page. Votre stratégie de « publicité » par conséquent, n’est pas du tout la même que celle que vous adressez à des humains, cela s’appelle du référencement internet. Comment se passe la communication sur les moteurs de recherche ? Via des outils informatiques et des algorithmes, dont le PageRank.
Réseaux sociaux et e-commerce, une alliance rentable
L’évolution des comportements sur les réseaux sociaux a fait de cette partie du monde 2.0 un outil de référencement internet à part entière. Découvrez pourquoi il faut utiliser vos pages sociales pour optimiser votre notoriété web et rendre votre e-commerce rentable…
Pourquoi il faut vous lancer dans l’e-commerce cette année
Avec 45 milliards d’euros de chiffre d’affaires* en France en 2012, soit la 6ème place mondiale, l’e-commerce est LE secteur économique en plein essor. Si vous souhaitez saisir la balle au bond, il ne faut toutefois ni tarder, ni vous lancer sans projet solide, au risque de perdre de l’argent plutôt que d’en gagner. Web Omega, agence web Nice spécialisée dans le référencement internet, vous délivre quelques clefs pour partir du bon pied sur le chemin de l’e-commerce.
L’Europe contre Google
En tant qu’agence web, nous nous interrogeons régulièrement sur l’intégrité de nos outils, du moins un en particulier, puisqu’il est omniprésent, pour ne pas dire omnipotent, dans nos missions quotidiennes. Il s’agit de Google. Des organismes autrement plus officiels que nous en Europe se sont également posé des questions sur le géant d’internet.
Ce n’est pas la première fois que la société de Mountain View s’embrouille en Europe. Lors de sa campagne Google Books, le géant avait dépêché quelques représentants dans les bibliothèques nationales européennes pour demander l’autorisation de copier leurs livres. Si beaucoup ont accepté de bon cœur, pensant à l’aspect culturel et humanitaire que représente une bibliothèque universelle, d’autres ont flairé le couac des droits d’auteurs, avec raison puisque cette affaire a donné lieu à un procès perdu par Google. C’était tout de même il y a deux ans, un temps que Google a mis à profit pour développer son aura sur le monde et l’Europe, ce qui ne plait toujours pas à tout le monde.
La commission européenne chargée de la concurrence a reçu une plainte sur le trust Google, et s’efforce de clore le dossier depuis 2010. Cette fois-ci, les plaignants sont des sociétés informatiques ou des sites internet qui se sentent lésés par la firme dans les domaines de la recherche et de la publicité. Deux lobbys ont été montés, FairSearch et ICOMP, qui regroupent (en bataille) Microsoft, Twenga, Foundem, Expedia, TripAdvisor, eJustice.fr, Ciao.com. Ces lobbys insistent auprès de la commission européenne pour vérifier que Google respecte le droit de concurrence. En effet, les plaignants estiment que Google met en avant ses propres outils lors d’une recherche, plutôt que de diriger équitablement vers des sites spécialisés (pour les voyages, les restaurants, la justice, etc.) L’autre grief serait que Google oblige ses clients et partenaires à choisir de la publicité via ses propres sélections (se taillant au passage une commission ?). Lassés par ces méthodes de cowboys, ils en sont venus à saisir les autorités.
Février 2010, Joaquin Almunia, le commissaire européen à la concurrence, reçoit les plaintes et décide, non pas d’enquêter formellement, mais de demander à Google de s’expliquer. S’ensuivent des échanges réguliers, la firme proposant des remaniements de sa politique, la commission et les lobbys en voulant plus, jusqu’à la semaine dernière encore. Joaquin Almunia a écrit un courrier au président exécutif de Google Eric Schmidt, pour signifier encore une fois la déception de la commission face aux engagements proposés en avril 2013. Toujours pas d’enquête officielle en vue, cependant.
D’autres soucis guettent le géant californien en Europe, surtout concernant la vie privée sur le net. Si le président de la bibliothèque nationale en France et son homologue belge se sont auto-proclamés ennemis de Google, en Allemagne, ce sont des autorités de protection des informations personnelles qui titillent la firme de Moutain View avec des requêtes en éclaircissement de la politique de confidentialité. La CNIL française, l’ICO britannique, la Cour fédérale allemande sont toutes au diapason pour exiger que Google y aille doucement avec les suggestions et les publicités orientées, puisque cela implique que vous êtes un minimum fliqué et analysé, par un programme tel que Google Analytics par exemple.
Il ne faut pas croire pour autant que l’Europe en veut à Google contre vents et marées. Ainsi en juin dernier la firme avait conquis une petite victoire quand la Cour de justice européenne l’a laissée tranquille sur le droit à l’oubli. Quand une affaire de justice est indexée par les Google Bots, au même titre que n’importe quelle page internet, le résultat apparaîtra toujours via une recherche qui la cible. Un fait que des personnes ayant eu affaire avec la justice, innocentées ou non, voulaient voir interdit. Hors la Cour de justice en a décidé autrement, puisqu’il n’existe justement pas en Europe de droit à l’oubli.
Ni l’Europe, au travers de ses instances officielles ou via les autorités de ses membres, ni Google ne semblent prêts à cesser les batailles. Il apparaît ainsi que cela soit une histoire à rebondissements… À quand le prochain ?
Google Analytics, ou comment faire venir et revenir les clients sur votre site
Voici quelques temps qu’à l’agence web Nice Web Omega, nous nous posons des questions sur le géant Google. En tant qu’outil de travail, a fortiori quand on travaille sur internet, il nous sert principalement à rechercher des informations, l’orthographe d’un mot pour la rédaction, une nouveauté dans l’écriture d’un script pour le développement, un tuto pour le graphisme, etc. Mais la société de Mountain View fait tout pour être encore plus qu’un mode d’emploi universel. Nos clients faisant appel à nos services de création de site ou de référencement internet pour gagner de l’argent, nous nous devons de leur fournir les outils les plus efficaces. Google Analytics est l’un d’eux.
Le service d’analyse d’audience proposé par Google n’a pas vu le jour à Mountain View mais à San Diego, chez Urchin Software Corporation. Rachetée par le géant, Urchin a par la même cédé son principal atout, le logiciel Urchin. Celui-ci propose donc de rendre compte quotidiennement, hebdomadairement ou mensuellement du trafic qui transite par un site web. Du temps d’Urchin, cela coûtait 495 $, avec Google Analytics, c’est gratuit.
Les mots clef qu’a tapé l’internaute avant de cliquer sur votre site, combien de temps il y est resté, d’où il était connecté, tout ceci est collecté par quatre petits cookies lâchés par Google Analytics dès que l’utilisateur a ouvert votre page internet, si vous avez souscrit à l’offre. Avant de préciser le travail des cookies, restons un moment sur leurs fonctions. Ils vont chercher certains types d’informations :
- Comment l’internaute arrive sur votre site : par un moteur de recherche, via une newsletter, par un site partenaire, en ayant tapé directement l’adresse, etc.
- Quel chemin il parcourt sur votre site : quelles pages il consulte, le temps qu’il reste sur chacune, le chemin qu’il a suivi entre elles, etc.
- Ce qu’il fait sur votre site : ce qu’il met dans le panier, ce qu’il enlève, ce qu’il achète finalement, ce qu’il met en favori, s’il commente, s’il remplit un formulaire d’inscription, s’il s’inscrit à la newsletter, s’il partage sur un réseau social (Facebook, Twitter, etc.)
- Qui est votre visiteur : les coordonnées de connexions (pays, ville, adresse), la langue utilisée, etc.
Les cookies en question sont donc actifs dès que l’internaute arrive sur votre page utilisatrice de Google Analytics (sinon, ça ne marche pas). Tant que celui-ci est sur votre site, les cookies accomplissent leur mission de collecte, ils crawlent, un peu comme les Google bots dont on a parlé dans un article précédent, mais indépendamment d’eux. Une fois la page fermée, l’un d’eux s’arrête, puis le deuxième 30 minutes après, le troisième six mois après, le dernier reste actif deux ans.
Une fois les informations collectées, Google Analytics vous délivre des rapports. Un utilisateur bien informé peut désactiver les cookies, afin de naviguer sur le net sans être « fliqué » mais cela n’arrange pas les affaires des e-commerces. En effet, grâce aux informations collectées par ses cookies, Google Analytics peut vous expliquer quels mots-clef mènent à votre site plus facilement, et même quel profil d’internaute vient acheter à coup sûr. C’est ainsi que vous apprenez ce que les internautes ont recherché sur internet avant de tomber sur vous, soit qu’ils vous cherchaient, soit qu’ils cherchaient autre chose et sont tombé sur votre site. Et c’est ainsi que vous devez modifier votre campagne de référencement en fonction de ces données. En tant que spécialiste, notre équipe de référencement travaille chaque jour à améliorer les positions de nos clients avec les indications de logiciels tel que Google Analytics.
Comment Google cherche ?
Chez Google, la recherche c’est LE leitmotiv. Non seulement c’est leur nature, le moteur de recherche, mais les chercheurs de Larry Page et Sergey Brin ne cessent de l’améliorer. Et ils y reviennent toujours, même si de temps en temps ils vont voir ailleurs s’ils ne peuvent pas changer le monde. D’ailleurs, même quand ils travaillent dans d’autres domaines, comme la Google Glass ou des téléphones mobiles, ils y incluent leur moteur de recherche. Et quand ils n’en font pas une fonction de leur nouveauté, ils utilisent celle-ci pour améliorer leur recherche, ce qu’ils ont fait avec Google Books.
En somme, la recherche Google cherche pour vos recherches mais aussi pour leur recherche. Cela vous semble obscur ? C’est pour vous aider que le référencement internet est devenu une spécialité de notre agence web à Nice !
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