Knowledge Graph et référencement, pour le meilleur !

Enfin ! Enfin un moteur de recherche se met à la place des utilisateurs ! Le Knowledge Graph de Google, bien qu’à ses débuts, a pour objectif de comprendre réellement ce que vous voulez savoir, pour vous donner la réponse la plus pertinente, et plus seulement une liste de liens à farfouiller pour trouver votre réponse. C’est une révolution aussi pour la création site e-commerce, puisqu’il va falloir s’adapter à cette nouveauté, qui concerne essentiellement le référencement site internet.

C’est (bientôt) fini le temps où, derrière votre écran, vous vous décarcassiez la tête pour trouver une combinaison de mots-clefs qui vous permette de trouver la réponse à votre question. Mine de rien, avec les dérives de la recherche basée sur les mots-clefs, chaque internaute s’est transformé en spécialiste du moteur de recherche sans le savoir. Rappelez-vous, la première fois que vous vous êtes mis devant Google, vous avez spontanément posé une question, « qui a réalisé Point Break ? », puis au fur et à mesure de votre pratique, vous avez changé de sémantique pour taper plutôt « point break réalisateur ». Ce qui a eu pour conséquence, pour chercher ne serait-ce qu’un livre quand on a oublié le titre et qu’on ne se rappelle que de détails, de devoir taper et retaper des mots-clefs, lire une page, une autre, retaper de nouveaux mots-clefs. On a cru que ce foutu moteur de recherche était vraiment niais, alors on tapait façon télégramme : « livre léonard de vinci femme tableau ». Pour trouver… rien. On a réessayé les phrases bien construites : « le livre qui parle de la femme qui est censée apparaitre sur le tableau de léonard de vinci ». Depuis peu cela donnait quelque chose (comment a-t-on pu oublier Da Vinci Code ?), même s’il n’y a que le premier résultat qui soit bon. Cela signifie en somme que Google, comme vous, comprend mieux quand vous parlez normalement. Autre avancée remarquable, avant, Google vous proposait des recherches ; maintenant, il vous apporte de vraies réponses. Mais il n’est pas sûr (de lui, de vous) donc il donne le choix grâce au Knowledge Graph.

Si vous possédez un site marchand, cela vous concerne directement puisque vos clients potentiels vont procéder de la même façon que vous pour vous trouver (après tout, vous êtes aussi un client potentiel pour d’autres boutiques en ligne). Pour manifester clairement que vous êtes le meilleur, avez les meilleurs produits, au meilleur prix avec la meilleure livraison, il va falloir le faire comprendre au Knowledge Graph, et c’est un peu différent qu’avant, quand il suffisait de bourrer vos méta-balises avec des mots-clefs. De plus le Knowledge Graph intègre depuis quelques semaines des publicités dans ce nouveau cadre d’information.

De l’obligation d’avoir un profil Google+

Pour les entreprises, les marques et toutes les boutiques en ligne qui n’avaient jusqu’à présent que deux options pour se faire connaître, le référencement naturel ou le payant (Google Adwords), le Knowledge Graph apporte une nuance. Rien qu’une agence web ne puisse faire pour vous, puisqu’il s’agit de créer (si ce n’est pas encore fait) un profil Google+ et de l’optimiser pour le Knowledge Graph. En effet, ce sont en partie les informations que vous renseignez dans ce réseau social qui apparaîtront dans le fameux cadre. C’est plutôt simple à faire, car lorsque vous créez un compte gmail, vous avez d’office un compte G+ joint, et si vous mettez une adresse, des photos et une visite virtuelle, ces informations apparaissent sur Google Map et maintenant également sur le Knowledge Graph. Pour un site marchand, remplir soigneusement toutes ces données est primordial pour offrir à vos clients une carte de visite complète et les inciter à franchir le pas (ou plutôt le clic).

Des résultats plus pertinents pour les utilisateurs

Le Knowledge Graph est capable de distinguer les nuances. C’est là toute son originalité et la révolution qu’il représente. C’est important car en réduisant l’angle de la recherche, Google la rend plus pertinente encore qu’en se basant sur les mots-clefs et le tissage des liens (de façon basique, c’est ce dont il s’agissait avant pour la recherche Google). Le client tape des mots-clefs, Google lui offre plusieurs options de sens, à force de restreindre sa cible le client tombe sur ce qu’il cherche, c’est-à-dire vous !

Des clients mieux ciblés

Autant les utilisateurs trouvent plus facilement ce qu’ils cherchent grâce au Knowledge Graph, autant les e-commerces trouvent de meilleurs visiteurs. Toujours grâce à la capacité de compréhension du Knowledge Graph, un visiteur qui vient sur votre site aura suivi un chemin balisé selon ses souhaits, donc il y a plus de chances qu’il soit satisfait, et devienne un client fidèle.

Des statistiques plus efficientes

Puisque les utilisateurs ont désormais un accès direct à l’information recherchée, les pages qui leur sont proposées sont censées correspondre exactement à ce qu’ils veulent. Il devrait y avoir une incidence sur le taux de rebond, c’est-à-dire quand un internaute quitte votre site après n’avoir consulté qu’une page, ce qui arrivait principalement car cela ne correspondait pas à ce qu’il voulait (recherche trop vague, site qui travaille des mots-clefs larges pour ratisser large). Ce taux devrait réduire car le Knowledge Graph aura épuré les résultats les moins pertinents, donc si l’utilisateur atterrit sur votre site, c’est qu’il doit y trouver un intérêt.

Des mots-clefs plus contextuels

Il y a encore peu, compiler des mots-clefs n’avait pas de sens pour le référencement, puisqu’il fallait surtout trouver les combinaisons de mots les plus tapées. Par exemple, pour un site qui vend des produits de beauté, il y a peu de chance que les internautes tapent « boutique en ligne de produit de beauté » mais plutôt simplement « produit de beauté ». Avec le Knowledge Graph, il va falloir référencer en contextualisant. Il faut se définir de la façon la plus juste possible et éviter les données vagues qui avant pouvaient tout de même ramener des clients (mais qui, on l’a vu, favorisait aussi un fort taux de rebond).

Google recentre ainsi sa principale activité sur l’utilisateur. Ce retour aux sources, qui est sa règle n°1, est une amélioration pratique. Cela permettra par exemple de faciliter le passage aux requêtes orales avec la Google Glass par exemple, ou les téléphones sous Android. À termes, nous allons réellement converser avec Google et obtenir des informations intéressantes.

Quant à la crainte de voir vos clients rester sur le pas de porte virtuel de votre site, elle est infondée. Si vous êtes un site marchand, les visiteurs seront toujours obligés d’entrer pour passer leur commande, créer un compte et payer. Du moins Google n’a pas encore étendu le Knowledge Graph à ce niveau.

Le Knowledge Graph fera de Google une entité intelligente

Nous vous avons parlé il y a peu du Facebook Graph Search, mais il n’y a pas que ce réseau social qui applique la théorie des graphes pour faciliter la vie des utilisateurs. Google a lancé le 16 mai 2012 pour les États-Unis le Knowledge Graph, c’est (pour faire court) le cadre d’informations que vous trouvez de plus en plus souvent sur le côté droit de votre page de résultats de recherche. Pour arriver à cela, Google a accompli encore une fois un travail de géant. L’agence web Web Omega s’est intéressée à cette nouvelle fonction de Google.Capture d'écran de la présentation du Knowledge Graph par Google.

Un graphe est une représentation mathématique des liens qui unissent les choses, cela permet de comprendre les rapports entre les entités, quels sont les liens les plus courts qui mènent d’une chose à l’autre, le chemin le plus long aussi. Ce que Google initie avec le Knowledge Graph, c’est une nouvelle façon de procurer aux utilisateurs ce qu’ils demandent, c’est-à-dire des informations. En améliorant l’application de la théorie des graphes sur les données qui se trouvent sur les sites internet, Google est en passe de rendre son moteur de recherche vraiment intelligent, compréhensif dans le sens où il sait de quoi vous parlez. Les ingénieurs de Mountain View pourvoient le moteur de recherche d’une capacité bien humaine, l’entendement. Il passe de moteur de recherche à moteur de connaissance (knowledge en anglais).

Pour faire simple, à l’origine la fonction de Google et des autres moteurs de recherche était de trouver le plus vite possible toutes les pages internet qui contenaient les mots que vous aviez tapé dans la barre, peu importaient le contexte, le sens et l’intérêt pour l’internaute. En affinant de plus en plus les modalités de pertinence, Google rendait peu à peu son moteur intuitif (mais pas encore intelligent). Non seulement il vous proposait les pages qui contiennent ces mots-clefs mais en plus il les classait selon l’intérêt que d’autres utilisateurs avaient manifesté avant vous, en cliquant sur telle page plutôt qu’une autre, mais là encore sans distinguer le sens. Ce n’était pas encore la panacée puisqu’il arrivait par exemple que des milliers d’internautes cliquent par réflexe sur le premier lien proposé alors qu’il n’était pas d’un grand intérêt, mais à force de clics, Google le laissait tout de même en première position. Autre indice que le moteur de recherche ne faisait que sortir de la caverne, la proposition de mots-clefs pendant que vous tapiez dans la barre était souvent un ramassis de bêtises (qui font bien rire les internautes). Bref c’était un peu la préhistoire et l’antiquité des moteurs de recherche.

En lisant notre article Comment Google cherche, vous aurez un aperçu de la recherche telle qu’elle était dernièrement, sa dernière évolution avant le Knowledge Graph. Avec cette nouvelle fonction, la pertinence se situe désormais au-delà des liens, puisque les ingénieurs de Google veulent chosifier les mots-clefs. Concrètement il faut que le moteur de recherche comprenne que ce que vous tapez, ce ne sont pas que des mots, ces mots représentent quelque chose de concret pour vous, et vous avez besoin de savoir quelque chose à ce propos. Pour vous apporter la meilleure réponse, Google Capture d'écran des résultats de la recherche "game of thrones" sur Google et les options du Knowledge Graph.change pour apprendre, apprendre à comprendre les choses et non plus seulement les liens (Things, not strings comme le disait Amit Singhal, l’ingénieur qui a annoncé cette nouvelle fonction pour le web américain en mai 2012).

Google a amélioré la recherche de trois façons. D’abord en catégorisant les résultats selon les ambiguïtés. En effet, il arrive que les mots que vous tapez aient plusieurs sens. Au lieu de proposer les résultats de toutes ses nuances pêle-mêle, Google vous propose les résultats d’une signification, la plus conséquente en termes de recherche, puis il met à disposition sur le côté les autres choix. Si par hasard c’était un de ceux-là que vous cherchiez, vous n’avez qu’à cliquer pour obtenir vos réponses. Par exemple vous avez tapé « game of thrones » pour trouver le nom de l’auteur du livre, histoire de vous y mettre parce que la série télé ne va pas assez vite à votre goût, le Knowledge Graph vous propose d’abord la série télévisée, vous cliquez sur la série littéraire pour obtenir votre information.

Deuxièmement, et c’est la partie la plus visible de l’iceberg, Google prépare un Meme "Batman slapping Robin" qui traduit la bêtise de réduire Knowledge Graph à un résumé de Wikipédia.résumé aux petits oignons pour vous éviter de rentrer dans les sites et de perdre du temps à la recherche de l’information tant désirée. Pour l’instant cela concerne les personnages célèbres, les lieux importants, les notions de connaissances (en sciences, en art, en religion, etc.), et aussi toutes les personnes et les sociétés qui ont un profil Google+. Tout n’y est pas encore, mais ça va venir. Ce résumé est extrait de diverses sources, officiellement Freebase, Wikipedia ou le World factbook de la CIA et beaucoup d’autres, considérées pertinentes parce que des milliers d’utilisateurs ont surfé dessus après avoir tapé les mêmes mots-clefs que vous. En plus, les quelques informations qui apparaissent dans ce nouveau cadre sont mises en avant de façon intelligente. Google sait ce que les internautes cherchent en priorité à propos d’un sujet, par exemple dans la grande majorité des cas la recherche « Robert Wadlow » concerne sa taille (c’était l’homme le plus grand qui ait existé), donc cette donnée va obligatoirement apparaître. Plus besoin de taper « robert wadlow taille » ni de rentrer dans la page Wikipedia ou Guiness Book of records pour la trouver, elle est là, sous vos yeux.

La troisième amélioration consiste à anticiper votre prochaine recherche et vous faire Capture d'écran de la recherche de "Games of thrones" sur Google, après avoir choisi une recherche plus précise.découvrir des nouveautés à propos de votre sujet. Reprenons l’exemple de Game of thrones. Quand vous avez cliqué sur le choix de la série littéraire, non seulement le cadre s’est rempli d’informations concernant exclusivement ce sujet, mais en plus les résultats de recherche eux-mêmes (sur la gauche) s’y sont restreints. Les mots-clefs ont été modifiés pour donner ce que Google estime plus pertinent, grâce à sa nouvelle intelligence. Vous cherchez un endroit pour jouer à Aviator ? Jouez à Aviator au casino en ligne Pin-Up . C’est pourquoi il y a « a song of ice and fire » à la place de « game of thrones » dans la barre de recherche, cela correspond plus à la série de livres puisque c’est ainsi que George R.R. Martin l’a nommée en anglais.

Le Knowledge Graph, c’est donc un peu votre bibliothécaire, votre médecin, Sherlock Holmes, Freud, Einstein, et même Robert Langdon, bref tout ce que vous pouvez imaginer comme expert dans son domaine, et qui vous restitue ses connaissances dans un petit cadre. Comme tout ce que fait Google, les travailleurs du web surveillent de très près les conséquences de chaque avancée pour adapter leur stratégie, en particulier pour le référencement internet et nous vous tiendrons bientôt au courant de ce que le Knowledge Graph change pour les référenceurs.

Web Omega est toujours en plein centre du Palais des expositions à la Foire de Nice !

L’équipe de Web Omega, votre agence de création de sites internet, vous attend à la Foire de Nice au si vous cherchez à concrétiser un projet de site ou à le rendre visible sur internet.

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Web Omega présente sa nouvelle image

Cela doit bien faire quelques mois que le projet grandissait dans le giron de Web Omega, votre agence de création de sites web, et ça y est, elle est arrivée. La nouvelle image de l’agence, concrétisée dans un nouveau site, le tout en clair et en couleurs !

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Google+ s’allie à YouTube pour un meilleur classement de ses commentaires

Logo Youtube

https://www.flickr.com/photos/zennie62/

 

2013 a représenté une grande étape pour le diffuseur de vidéo YouTube. Racheté en 2006 par Google sans que cela n’ait eu vraiment d’effets sur l’utilisation du site, le système de gestion et d’affichage de commentaires a finalement radicalement changé fin 2013. Parmi les nouvelles fonctionnalités, YouTube intègre la possibilité pour les utilisateurs de voir les commentaires des cercles Google+ et d’avoir des discussions privées grâce à celui-ci. Une nouvelle affiliation, qui dès l’instant de son lancement, a déclenché de nombreuses réactions de la part des internautes sur l’ascension du grand pouvoir de Google dans sa conquête du web. Étant donné l’importance non négligeable de YouTube, estimée à 1 milliard de Youtubers, les utilisateurs dénoncent l’accélération de la montée en puissance de Google+ par cette association.

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Google + est bien en train d’arriver

Il y a encore un an, toute la sphère internet pensait ça :

Pour les non-anglophones : « Arrêtez avec Google+, ça n’arrivera pas! ».

Les raisons qui ont poussé les internautes à rejeter d’emblée Google+ sont d’une part que, niveau réseaux sociaux, on en avait pas mal sous la main, dont un qui est encore et toujours plus que majoritaire en termes d’inscrits et de temps passé dessus (oui, il s’agit de Facebook) ; d’autre part, Google a encore une fois agit, en apparence du moins, en grand bêta naïf : « Allez, s’il-vous-plait, laissez-moi une place au soleil ! ». Et on en a soupé de ce faux-semblant de Google !

Né en 2011, Google+ était donc bien mal parti, sauf que depuis quelques semaines, les compteurs d’inscriptions en ont fait le dauphin de Facebook. En à peine 2 ans d’existence, ce nouveau réseau social est passé de la risée totale à la deuxième place. La rédaction de l’agence web Web Omega lance quelques hypothèses sur ce succès fulgurant.

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Le référencement naturel, Graph Search, et vous !

Après avoir étudié de fond en comble l’aspect théorique du moteur de recherche superpuissant qu’est le Graph Search (GS) de Facebook, votre agence de référencement arrive tout doucement à la fin de sa leçon.

Vous l’aurez donc bien compris, cette nouvelle fonctionnalité joue un rôle très important dans le référencement internet. C’est pourquoi, en tant que propriétaire d’un commerce, il est impératif que vous fassiez en sorte que Facebook considère votre entreprise comme pertinente afin de bien la classer dans les résultats de recherche. « Mais comment m’y prendre ? » vous demandez-vous. La réponse est : en maximisant votre présence sur le réseau social ! Bien que d’apparence simple, cette solution vous demande pourtant d’agir sur plusieurs fronts en même temps.

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Créer un site internet vitrine ou e-commerce : comment éviter les arnaques ?

De nombreuses agences ou indépendants (freelances) vous proposent aujourd’hui leurs services pour la création d’un site professionnel ou personnel. Malheureusement, ce marché étant en pleine expansion, beaucoup se font arnaquer. Comment créer un site internet en toute sécurité ? Comment éviter les pièges et arnaques de certains escrocs ? Comment trouver une bonne agence web réalisant des sites à prix réel ? L’équipe rédactionnelle de l’agence web Web Omega a souhaité aujourd’hui vous donner quelques conseils afin d’éviter toute erreur. Continuer la lecture

Recherche « agence web sachant référencer »

Aujourd’hui, Web Omega se penche finalement sur l’aspect référencement du Graph Search de Facebook, ce nouvel outil marketing à ne pas négliger si vous êtes une entreprise présente sur la toile et que vous vous vous souciez de votre e-réputation.

Le Graph Search, c’est ce nouveau module de recherche révolutionnaire que Facebook a récemment lancé sur la version « anglais US » du réseau social et qui ne devrait pas tarder à débarquer en France. Nous vous en avons expliqué le fonctionnement ainsi que ses conséquences sur les informations publiques des utilisateurs du réseau social dans un article précédent. Si vous avez raté la leçon, c’est par ici. Vous pouvez également regarder cette petite vidéo didactique dans laquelle Olivier Clairouin et Martin Vidberg illustrent très bien la chose (en patates).

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Not provided, not provided partout

Précédemment, dans le Monde du web : Lorsque l’on souhaite mieux connaître ses internautes et ce qui les amène chez nous (ou chez nos clients), un des premiers outils utilisés par nos référenceurs est bien sûr l’analyse des mots clés, ceux que nos chers visiteurs ont tapé dans Google avant d’atterrir sur notre site. Hors, depuis quelques temps, ces informations précieuses disparaissent de nos rapports, subtilement remplacées par une mention mystérieuse, « Not provided ». Petite analyse sur ce sujet inquiétant.

Comme toute la communauté internet ces derniers mois, notre agence web a constaté et subi la vague des « Not provided ». Impactant le référencement naturel, les choix de Google (et bientôt Bing) qui restreignent la portée, l’efficacité et même tout simplement l’utilité des logiciels SEO ne sont en plus pas forcément ingénus. Les démarches Google-iennes qui mènent à cette situation rajoutent quelques teraoctets dans la balance, du côté « méchant déguisé ».Illustration de la vague de "not provided" dans les rapporst d'analyse de logiciels SEO. Continuer la lecture

Êtes-vous prêts à vous dévoiler au monde? Facebook pense que oui !

Depuis juillet 2013, les utilisateurs américains de Facebook ont accès au Graph Search du réseau social. Le Graph Search est un moteur de recherche propre au site, qui vous donne un accès inconditionné aux informations publiques de vos relations Facebook. Cette fonction du réseau social n’est pas encore disponible chez nous, mais son lancement prochain est inévitable. Les défenseurs de la vie privée sur Internet ne voient pas l’arrivée du Graph Search d’un bon œil, et pour cause, la fonctionnalité repousse (encore) les limites du « privé » sur Facebook.

En tant qu’agence web s’intéressant à ce qu’il se passe sur la toile, Web Omega se doit d’évoquer les changements que Facebook va amener dans nos vies. Les répercussions qui feront suite à l’arrivée de son module de recherche risquent de ne pas plaire à tout le monde.

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Le référencement sur Facebook : comment ça marche ?

Les réseaux sociaux sont de plus en plus utilisés comme moyens de promouvoir son entreprise ou e-commerce. Encore faut-il savoir s’en servir correctement ! Spécialiste du référencement site internet, Web Omega s’est intéressé au sujet et a assemblé pour vous une série de conseils à suivre afin d’optimiser vos publications professionnelles sur Facebook.

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Votre vie (privée) ne tient qu’à un clic !

Le big data, vous connaissez ? Si ce n’est pas votre cas, ce qui va suivre vous en explique quelques points, à vous ensuite de décider si vous continueriez à utiliser internet sans vous poser de question… En tant qu’agence création site web, à Web Omega nous nous interrogeons souvent sur notre outil et terrain de travail, internet, et les méthodes appliquées par les grandes sociétés pour le perfectionner, dont la récupération de données.

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Annuaires, marche à suivre

Le blog de Web Omega, agence web Nice, propose aujourd’hui à ses lecteurs d’en apprendre un peu plus sur les mystères du web et du référencement internet en particulier. Nous vous avons déjà parlé de l’optimisation des pages de votre e-commerce et des notions globales du PageRank, de la méthode appliquée par les moteurs de recherche, des outils pour améliorer votre position, etc. Cette fois-ci nous nous penchons sur un aspect indispensable du référencement naturel, l’inscription aux annuaires. Web Omega vous dévoile leurs secrets de polichinelle.

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PageRank, atteindre le bon niveau

Les clients de Web Omega, agence web Nice, qui cherchent à entrer dans l’e-commerce finissent toujours par se poser une question : À travers le monde du web, comment faire pour que mon site internet tout nouveau tout beau accède à la notoriété ? Il faut savoir que sur le net, les seuls publics qui doivent vous intéresser en tant que commerçant, ce sont les moteurs de recherche, car ce sont eux qui mèneront les vrais acheteurs sur votre page. Votre stratégie de « publicité » par conséquent, n’est pas du tout la même que celle que vous adressez à des humains, cela s’appelle du référencement internet. Comment se passe la communication sur les moteurs de recherche ? Via des outils informatiques et des algorithmes, dont le PageRank.

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Réseaux sociaux et e-commerce, une alliance rentable


L’évolution des comportements sur les réseaux sociaux a fait de cette partie du monde 2.0 un outil de référencement internet à part entière. Découvrez pourquoi il faut utiliser vos pages sociales pour optimiser votre notoriété web et rendre votre e-commerce rentable

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Paylib, le service de paiement français à l’assaut de PayPal

En tant que spécialiste de la création de site e-commerce, votre agence web Nice Web Omega s’intéresse aujourd’hui à une actualité qui a récemment secoué le secteur du commerce en ligne. Le 17 septembre dernier, la Banque Postale, BNP Paribas et la Société Générale ont en effet annoncé la création de leur nouveau service de paiement en ligne Paylib, qui se pose déjà comme le futur concurrent de PayPal. Les trois banques françaises mettront cette solution gratuitement à disposition de leurs quelques 23 millions de clients, à partir du 24 septembre prochain.

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Quelques astuces pour économiser la batterie de son smartphone

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Qui n’a jamais vu s’éteindre son téléphone portable au moment où il en avait le plus besoin ? Ce genre de scène est courant de nos jours, avec des smartphones dont les batteries s’épuisent très vite. On passe également plus de temps à surfer sur nos applications préférées, activité très consommatrice en énergie. L’équipe rédactionnelle de Web Omega, agence web Nice, vous livre aujourd’hui ses meilleures astuces pour ne plus avoir à recharger son portable tous les jours, voire plusieurs fois par jour.

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Microsoft s’empare de l’activité mobile du Finlandais Nokia

L’agence web Web Omega vous informe sur les dernières news high-tech et s’intéresse aujourd’hui à une nouvelle majeure pour le monde de la téléphonie mobile. En effet, l’opération est entérinée, le géant Microsoft a fait main basse sur l’activité mobile de Nokia et cela pour un montant de 5.4 milliards d’euros.

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L’iphone 5C se dévoile en couleurs et en images

La période de la rentrée des classes annonce également la rentrée technologique des grands constructeurs du secteur mobile et c’est aux rumeurs liées à l’iPhone 5C que Web Omega, votre agence web Nice, s’intéresse aujourd’hui.

Les actualités liées à la sortie du nouvel iPhone 5S, disponible prochainement en coloris or et argent, font autant de bruit sur la toile que les news concernant le nouveau modèle destiné aux pays émergents : l’iPhone 5C. Continuer la lecture

L’Europe contre Google

En tant qu’agence web, nous nous interrogeons régulièrement sur l’intégrité de nos outils, du moins un en particulier, puisqu’il est omniprésent, pour ne pas dire omnipotent, dans nos missions quotidiennes. Il s’agit de Google. Des organismes autrement plus officiels que nous en Europe se sont également posé des questions sur le géant d’internet.

Ce n’est pas la première fois que la société de Mountain View s’embrouille en Europe. Lors de sa campagne Google Books, le géant avait dépêché quelques représentants dans les bibliothèques nationales européennes pour demander l’autorisation de copier leurs livres. Si beaucoup ont accepté de bon cœur, pensant à l’aspect culturel et humanitaire que représente une bibliothèque universelle, d’autres ont flairé le couac des droits d’auteurs, avec raison puisque cette affaire a donné lieu à un procès perdu par Google. C’était tout de même il y a deux ans, un temps que Google a mis à profit pour développer son aura sur le monde et l’Europe, ce qui ne plait toujours pas à tout le monde.

La commission européenne chargée de la concurrence a reçu une plainte sur le trust Google, et s’efforce de clore le dossier depuis 2010. Cette fois-ci, les plaignants sont des sociétés informatiques ou des sites internet qui se sentent lésés par la firme dans les domaines de la recherche et de la publicité. Deux lobbys ont été montés, FairSearch et ICOMP, qui regroupent (en bataille) Microsoft, Twenga, Foundem, Expedia, TripAdvisor, eJustice.fr, Ciao.com. Ces lobbys insistent auprès de la commission européenne pour vérifier que Google respecte le droit de concurrence. En effet, les plaignants estiment que Google met en avant ses propres outils lors d’une recherche, plutôt que de diriger équitablement vers des sites spécialisés (pour les voyages, les restaurants, la justice, etc.) L’autre grief serait que Google oblige ses clients et partenaires à choisir de la publicité via ses propres sélections (se taillant au passage une commission ?). Lassés par ces méthodes de cowboys, ils en sont venus à saisir les autorités.

Février 2010, Joaquin Almunia, le commissaire européen à la concurrence, reçoit les plaintes et décide, non pas d’enquêter formellement, mais de demander à Google de s’expliquer. S’ensuivent des échanges réguliers, la firme proposant des remaniements de sa politique, la commission et les lobbys en voulant plus, jusqu’à la semaine dernière encore. Joaquin Almunia a écrit un courrier au président exécutif de Google Eric Schmidt, pour signifier encore une fois la déception de la commission face aux engagements proposés en avril 2013. Toujours pas d’enquête officielle en vue, cependant.

D’autres soucis guettent le géant californien en Europe, surtout concernant la vie privée sur le net. Si le président de la bibliothèque nationale en France et son homologue belge se sont auto-proclamés ennemis de Google, en Allemagne, ce sont des autorités de protection des informations personnelles qui titillent la firme de Moutain View avec des requêtes en éclaircissement de la politique de confidentialité. La CNIL française, l’ICO britannique, la Cour fédérale allemande sont toutes au diapason pour exiger que Google y aille doucement avec les suggestions et les publicités orientées, puisque cela implique que vous êtes un minimum fliqué et analysé, par un programme tel que Google Analytics par exemple.

Il ne faut pas croire pour autant que l’Europe en veut à Google contre vents et marées. Ainsi en juin dernier la firme avait conquis une petite victoire quand la Cour de justice européenne l’a laissée tranquille sur le droit à l’oubli. Quand une affaire de justice est indexée par les Google Bots, au même titre que n’importe quelle page internet, le résultat apparaîtra toujours via une recherche qui la cible. Un fait que des personnes ayant eu affaire avec la justice, innocentées ou non, voulaient voir interdit. Hors la Cour de justice en a décidé autrement, puisqu’il n’existe justement pas en Europe de droit à l’oubli.

Ni l’Europe, au travers de ses instances officielles ou via les autorités de ses membres, ni Google ne semblent prêts à cesser les batailles. Il apparaît ainsi que cela soit une histoire à rebondissements… À quand le prochain ?