L’e-commerce évolue

Chez Web Omega, nous accompagnons nos clients commerçants en ligne depuis 2008 dans l’aventure des sites marchands. Pour être plus efficaces et rentables, les sites e-commerces conçus par notre agence web sont ergonomiques et compatibles avec les dernières exigences technologiques, et notre pôle référencement travaille d’arrache-pied à améliorer leurs positions dans les moteurs de recherches.

Vous pensiez que l’e-commerce était un soufflet qui allait retomber ? Détrompez-vous, en 2012 déjà, les chiffres laissaient entrevoir l’ascension du secteur, et cette ascension s’est vérifiée en 2015.

Illustration de l'e-commerce.

https://www.flickr.com/photos/87966281@N05/

Qu’est-ce que les Français achètent ?

Par rapport à notre dernier article sur ce sujet où nous analysions les chiffres de 2012 de la Fédération de l’e-commerce et de la vente à distance (Pourquoi il faut vous lancer dans l’e-commerce cette année), le chiffre d’affaire de l’e-commerce a grimpé de 26,2 %, pour atteindre en 2015 56,8 milliards d’euros et la croissance reste vraisemblablement au beau fixe, à 10 %, selon les estimations de la FEVAD. En 2012, le secteur qui remportait le plus de parts de marché était le tourisme avec 59 % des internautes ayant cliqué pour acheter un voyage, mais il est tombé à 36 %. En 2015, c’est l’habillement qui prend subitement la tête des opérations, passant de la quatrième à la première place. Viennent ensuite l’électroménager (35 %), les produits culturels (32 %), et le secteur beauté et santé (25 %). Les services, qui étaient deuxième en 2012, ne font plus partie du top 5 des ventes en ligne.

On peut dire que tous les voyants sont au vert en ce qui concerne l’e-commerce, car même si le panier moyen a encore chuté pour atteindre 81 euros (87,5 en 2012), tous les autres paramètres rendent l’investissement intéressant : le nombre moyen d’achats par an a augmenté (16 en 2012, 20 en 2015), ce qui donne un montant annuel moyen en nette hausse (de 1 400 euros en 2012 à 1 625 euros en 2015).

Attention cependant, car le nombre de sites actifs atteint aujourd’hui 164 200, et si en 2012 nous voyions l’avenir des e-commerces comme un chemin tout tracé et pavé d’or, engageant les entrepreneurs à se lancer rapidement, le surcroit de concurrence ajouté au fait que 96,2 % de ces sites se partagent seulement 11 % du chiffre d’affaires global, et 3,4 % se partagent les 89 % restant, oblige tout jeune projet d’e-commerce à être solide pour tirer son épingle du jeu.

Là où il faut être

À cette fin, Web Omega agit en soutien concret auprès de ses clients grâce à plusieurs partis pris de l’équipe. Avant même que la FEVAD n’inclue cette donnée dans ses chiffres-clés parce qu’elle a connu une hausse de son volume d’affaires de 53 % entre 2013 et 2015, l’affiliation avec les places de marché (Amazon, eBay, Cdiscount) a été ajoutée à nos prestations et nous nous chargeons de la configuration du site (chaque fiche doit correspondre aux paramètres de la place de marché).

Le chiffre d’affaires du m-commerce (l’achat via un mobile) a aussi connu une belle hausse (54 %) représentant maintenant 4 milliards d’euros (2,6 milliards en 2013). Ceci rend obligatoire le fait de rendre responsive nos sites. Cette qualité permet à l’utilisateur d’un smartphone ou d’une tablette de visiter les e-commerces de façon ergonomique, via un affichage et des fonctionnalités adaptées à la taille de l’appareil. Ainsi, nos clients font partie des 24% d’acteurs qui ont optimisé leur site pour les différents supports en progression.

Ce qu’il faut améliorer

Bien que 90,2 % des clients se disent satisfaits de l’achat en ligne en général, il nous faut toujours en faire plus pour rendre l’expérience parfaite. C’est à nous, spécialistes de la conception et du référencement, et à vous, les porteurs de projets de boutiques en ligne, de mettre le paquet.

Une étude du groupe Oney publiée à l’occasion du salon Maison & Objet et une autre du Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie dessinent plusieurs pistes de perfectionnement, à commencer par le fait que 60 % des acheteurs en ligne valideraient leur commande sans avoir vu de leurs propres yeux le produit. Du coup, 1,5 % des commandes ne sont pas le bon produit ou ne satisfont tout simplement pas le client, qui, on vient de le voir, achète sur photo. Prenez en compte que 63 % comparent sur Internet les prix chez les concurrents avant d’acheter et que 15 % font attention au design via le même média, il est alors évident qu’il faut soigner la présentation du site et plus particulièrement des produits eux-mêmes. Il existe de nombreuses façons d’ajouter de l’attractivité à vos articles (des fiches originales, des photos de qualité, des vidéos, etc.)

Autre marge de progression, l’offre d’options de livraison adaptées devient cruciale, puisqu’il s’agit là du point noir de l’achat en ligne. 14,3 % des commandes arrivent hors-délais, 0,9 % sont endommagées. Il faut prendre en compte que 66 % des acheteurs n’hésitent pas à abandonner leur panier si vos conditions de livraison ne les satisfont pas, soit parce que c’est trop cher (59 %), trop long (44 %), leur besoin n’est pas proposé (36 %), la date de livraison n’est pas garantie (30 %). Un client satisfait sur ce point reviendra acheter sur le site (96 % des internautes le garantissent), mais un client non satisfait se transformera en plaie : non seulement il ne reviendra pas, mais 40 % le partageront sur un réseau social. Et rappelez-vous qu’avant d’acheter, les consommateurs surfent pour lire des avis, et 56 % n’achètent pas si les commentaires sont négatifs.

Toutes ces situations, nous les rencontrons, les comprenons et les maîtrisons. N’hésitez pas à demander des précisions lors de votre demande de devis auprès de Web Omega.

Sources
http://www.fevad.com/uploads/files/Enjeux%202015/CHIFFRES_CLES_2015.pdf
comarketing-news.fr/etude-e-commerce-limpact-des-options-de-livraison/
http://www.fia-net-group.com/les-comportements-dachat-en-ligne-francais-enfin-decryptes-1e-edition-du-barometre-sceau-confiance-fia-net/
http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/20/2259709-60-francais-francais-achetent-ligne-avoir-vu-produit-magasin.html
http://www.credoc.fr/pdf/Sou/Bricolage.pdf

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