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L’initiative French Tech gagne du terrain

Montre et téléphone connectés.

https://pixabay.com/fr/users/DariuszSankowski-1441456/

C’est tombé hier, une vingtaine de nouveaux territoires de l’Hexagone vont bénéficier du label French Tech. C’est Emmanuel Macron, ministre de l’Économie, et Axelle Lemaire, secrétaire d’État au Numérique qui le disent. Le but : filer de sacrés coups de pouce aux start-up en les valorisant et en les mettant en réseaux. À l’agence web Web Omega, spécialiste en référencement Google et en création de sites e-commerces, on s’est intéressé à ce point de l’actualité.

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Topo sur le concept de start-up

Selon le site officiel de la French Tech, « une start-up est une jeune entreprise avec une ambition mondiale à la recherche d’un modèle économique qui lui assurera une croissance forte et rapide, ou une entreprise qui a grandi avec un tel modèle. » On note que la valeur de ce genre de boîtes repose grandement sur le numérique. L’idée, c’est qu’elles prennent des risques et explorent de nouveaux domaines, produits et services et les rendent praticables et accessibles via le net.

La French Tech en quelques mots

Mis en place par le gouvernement en 2013, l’initiative French Tech a pour but d’accompagner et de permettre l’accélération du développement des jeunes pousses numériques en France et à l’international. L’État voit là un moyen de générer de la valeur économique ainsi que des emplois en plus d‘un dynamisme sans borne, terreau de l’avenir de l’industrie française.

« L’initiative French Tech ce n’est pas l’État qui encadre, c’est l’État qui soutient », peut-on lire sur le site de la French Tech. Et pour appuyer et mettre en lumière les initiatives déjà existantes dans les régions, l’État a créé le label « métropole French Tech ». Depuis 18 mois, on y compte déjà treize villes ou groupements de villes hors Paris : Aix-Marseille, Montpellier, la Côte d’Azur, Toulouse, Bordeaux, Grenoble, Lyon, la Lorraine, Lille, la Normandie, Nantes, Rennes/Saint-Malo et Brest.

Réseaux thématiques transversaux

Et puisque cela fonctionne plutôt bien, après appel à candidatures, 21 nouveaux territoires ont été sélectionnés pour intégrer des réseaux thématiques transversaux. che accettano bitcoin Ces fameux « réseaux thématiques » concernent l’e-santé, les objets connectés, l’e-éducation, les technologies vertes, les fintechs (technologies concernant les domaines du paiement et de la banque), l’e-commerce, le sport, l’alimentation ou encore la cybersécurité.

L’extension de ces réseaux permettra à des territoires des quatre coins de la France ne bénéficiant pas du label « métropole French Tech » d’être intégrés au dispositif et de profiter de l’élan et de la visibilité des sites labellisés. Dans le réseau de la thématique sport, on trouve par exemple la Normandie, Grenoble, Aix-Marseille, Montpellier et (le/les nouveau-x) Saint-Jean-de-Luz/Hossegor. Autre exemple, l’Alsace, qui participe désormais à deux réseaux : l’healthTech (e-santé) et l’IoTManufacturing (internet et les objets connectés). Les nouveaux territoires élus dans chaque réseau le sont pour une durée de deux ans à l’issue desquels ils seront remis en concurrence avec d’autres prétendants.