Une certaine légende urbaine traine sur Internet : ce serait la fin de l’orthographe. Les scientifiques estiment le début de sa chute aux environs de 2000, avec l’apparition du SMS. Certes, auparavant les contrevenants existaient mais comme il n’y avait pas de diffusion de masse, et bien cela n’était pas aussi visible. La faute fut reprise quasiment immédiatement par les réseaux sociaux en plein essor, où les jeunes (et moins jeunes) balançaient, et balance encore aujourd’hui ce qui leur passe par la tête sans la crainte que Mme. Biscondi leur chauffe les oreilles avec un puissant « Les « si » n’aiment pas les « rai » ! » ou bien « Rappelle-moi la définition du verbe « croiver » je te prie… ». Cependant, les moteurs de recherche ont aussi leur part de responsabilité dans la déperdition orthographique et, par un tour pervers, les rédacteurs web sont parfois bien obligés d’utiliser des mots-clefs grammaticalement incorrects, voire complètement barbares. En tant qu’agence web spécialisée dans le référencement naturel, Web Omega dénonce cette dure condition que subissent les rédacteurs.
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Not provided, not provided partout
Précédemment, dans le Monde du web : Lorsque l’on souhaite mieux connaître ses internautes et ce qui les amène chez nous (ou chez nos clients), un des premiers outils utilisés par nos référenceurs est bien sûr l’analyse des mots clés, ceux que nos chers visiteurs ont tapé dans Google avant d’atterrir sur notre site. Hors, depuis quelques temps, ces informations précieuses disparaissent de nos rapports, subtilement remplacées par une mention mystérieuse, « Not provided ». Petite analyse sur ce sujet inquiétant.
Comme toute la communauté internet ces derniers mois, notre agence web a constaté et subi la vague des « Not provided ». Impactant le référencement naturel, les choix de Google (et bientôt Bing) qui restreignent la portée, l’efficacité et même tout simplement l’utilité des logiciels SEO ne sont en plus pas forcément ingénus. Les démarches Google-iennes qui mènent à cette situation rajoutent quelques teraoctets dans la balance, du côté « méchant déguisé ». Continuer la lecture
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